Saturday, November 29, 2014

Entreprenariat féminin et Santé de la Femme

GROUPE   WORLDLEADERSHIP   2000

“Groupe WLD 2OOO”
Cabinet de Conseil opérationnel d’assistance et d’accompagnement, de Promotion Economique et d’Entreprenariat
« Cabinet CPEE »
Développement Durable et  Croissance Economique Soutenue – DD/CES
Promotion Socio-économique Soutenue et Entreprenariat Social et Sociétal pour un Développement Humain Durable

                                               
VOLET  INFORMATION & C0MMUNICATION  Durables
« Volet ICD / IEC / CCC »
ZONE CENTRE N°2 FATICK / KAOLACK / KAFFRINE/ DIOURBEL

Note de contribution et de partage de l’atelier d’ETE 2014 de fatick en rapport avec
La Problématique communicationnelle et inclusive des Systèmes d’Information et de Gestion des Services de Santé publique durable:

1°) Journée Nationale des Assistantes maternelles du 19 Novembre 2014 ;
2°) Journée Internationale des Aides – soignants du 26 Novembre 2014.

        Novembre 2014
Étude préparée par :
Mr Babacar  Ndiaye
Expert / Société civile de l’Education et du Développement
Leader influencer & GOUVERNANCE INNOVANTE  du
Collège des experts / Cabinet CPEE du Groupe WLD 2000 
Tél: +221 77 539 47 35
ATELIER D’ETE
Organisé par

WOMEN FOR WOMEN EMPOWERMENT PROJECTS - WFMEP
Thème: “ Entreprenariat et Santé Maternelle et Infantile”
Lieu : Au Centre Kalima (Quartier Daral) à Fatick, Sénégal
Date : Mercredi 13 Août 2014 de 12 Heures à 17 Heures
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SUMMER WORKSHOP
Organized by
WOMEN FOR WOMEN EMPOWERMENT PROJECTS - WFMEP
Principal Subject “Entrepreneurship and Maternal and Child Health”
Lieu : Au Centre Kalima (Quartier Daral) à Fatick, Sénégal
Date: Wednesday 13th August 2014; 12:00 PM – 5:00 PM
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Déroulement de l’Atelier d’Eté 2014 à Fatick
-       Installation et Mise en place des femmes de WOMEN FOR WOMEN EMPOWERMENT PROJECTS – WFMEP ;
-       Introduction des Pasteurs de Dakar et Kaolack ; 
-       Première Communication de l’Infirmier Chef de Poste (ICP) de Fatick ;
-       Deuxième Communication de l’Expert de la Société civile de l’Education et du Développement de Dakar ;
-       Troisième Communication de l’Experte du Crédit Mutuel du Sénégal - CMS de Fatick ;
-       Débat et Echanges avec le Modérateur – facilitateur AFRICAN & WORDL CIVIL SOCIETY’ Expert.

PROBLEMATIQUE

Pourquoi les OMDs ne seront pas atteints en 2015 notamment ceux en rapport avec le secteur de la Santé des Femmes, des Nouveau-nés et des Enfants? Pourquoi le Droit d’accès  aux services et soins de santé demeure déficitaire entre l’Offre publique de Santé durable aux citoyens (Etats, SNU, Directives de l’UEMOA / CEDEAO / UA, Agences de Coopération internationale et de l’Union Européenne sur la cohérence et l’harmonisation des Systèmes et Politiques d’intervention) et aux structures de développement de l’économie nationale (Investissements des établissements de santé privés et Opérations de terrain de la Société civile médicale) ? Avec les Compétences émergentes sur le Marché international du Travail (WEM), la Croissance rapides des maladies à soins coûteux (les MNTs) et   les limites objectifs des universités et établissements publics de santé  pour les Gouvernements subsahariens de consacrer un pourcentage discriminatoire de leur  Budget national à des services et soins de santé compétitifs ? Quelles politiques  d’éducation financière faut – il institutionnaliser pour l’équilibre entre l’Accès universelle et durable  aux  services et soins de santé des populations à grande vulnérabilité de revenu et d’extrême précarité monétaire ?

En référence à la CIPD’94 sur «  la Santé de la Reproduction et le Développement Durable » et les objectifs intergouvernementaux sanitaires définis pour 2020, la prise en charge effectif de la Gouvernance financière,  de  l’éducation et de la formation des Ressources Humaines à travers  la Santé de la Reproduction ( ou la Santé reproductive) par les Gouvernements africains restent impérativement les défis majeurs de développement à relever pour l’après  2015 des 08 OMDs et le Renforcement des Systèmes d’information et services de Santé en partenariat avec les Services centraux des ministères de la Santé, les réseaux de mutuelles de santé, le Secteur privé commercial et non commercial, les organisations et individualités de la Société civile médicale  (ONGs, Associations de malades, Cabinets IEC / CCC, Personnes Ressources etc.) .

Les institutions gouvernementales et intergouvernementales,  les communautés et la Société civile religieuses  sont également reconnues comme moyen d’éducation et sous le contrôle de l’Etat pour l’encrage et l’engagement citoyens dans le management à chaque niveau de la pyramide sanitaire et des référencements médicaux en dehors des capitales régionales, particulièrement la Capitale sénégalaise de Dakar.
Prétextant aussi à la Journée Internationale pour l’Elimination de la Violence à l’Egard des Femmes du 25 Novembre 2014, il serait important de vulgariser d’autres approches de Droits Humains Durables  pour une meilleure prise en charge des victimes et traumatologies graves des femmes qui sont enceintes à la suite d’un viol et d’une grossesse non désirée. Selon l’OMS, l’avortement non sécurisé (les IVG) est une des principales causes de mortalité et de morbidité maternelle où chaque année 05 millions de femmes handicapées et 47 000 décédées. A ces indicateurs de santé, s’ajoutent les pourcentages inquiétants de femmes décédés en donnant la vie, principalement en Afrique subsaharienne.    
En 1998, le PNUD s’était bien investi pour l’intégration des Droits de l’Homme au Développement Humain Durable (DHD) à l’activité des divers organismes du Système des Nations Unies (SNU)En 2002, l’Organisation Mondiale de la Santé (0MS) de manière transversale avait pris les dispositions d’intégrer les principes fondamentaux des Droits de l’Homme (Approche AIDH) dans ses politiques et ses programmes de développement à la santé. Dés les premières apparitions de la fièvre hémorragique d’Ebola en novembre 2013 et le premier bulletin d’alerte de l’OMS du 23 mars 2013 signalant 49 cas dont 29 mortels, nous avons assisté à une croissance exponentielle des risques réels catastrophes
(Approche et Planification RRC non intégrée dans la communication de crise avec les acteurs de la Société civile africaine et internationale et les structures scolaires et universitaires transfrontalières dans la zone UEMOA / CEDEAO) à une menace planétaire globale. L’urgence du virus d’Ebola demeure une Priorité dans le Secteur de la Santé où dans ce cas les lourdes procédures institutionnelles sont devenues fatales pour les populations de l’Afrique de l’ouest (Sierra Léone, Libéria, Guinée Conakry etc.) sur le plan sanitaire, alimentaire, nutritionnelle, monétaire, socio - économique, gouvernance des infrastructures etc. En plus de ce RRC d’Ebola qui s’était annoncé, depuis 2012 la Crise d’insécurité alimentaire et nutritionnelle sévères touchent plus de 15 millions de personnes et fortement aggravait par les conséquences nationales et régionales de la crise politique malienne, la prise du pouvoir par les militaires au Burkina – Faso, la Criminalité transfrontalières et la Traite des personnes en Afrique de l’ouest.  La malnutrition sévère touche plus d’un million d’enfants au Sahel. Hormis en zone agro-sylvo-pastorale fortement affectée par la sécheresse et le déficit pluviométrique continue impactant la production agricole avec le Comité Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (CILSS). Est – ce que le CILSS a intégré dans sa stratégie le partage des Systèmes d’Information (SIG) avec la grande masse d’établissements scolaires, universitaires et post - universitaires en Afrique de l’Ouest ?

Mais aujourd’hui, l’OMS vient d’enregistrer plus de 5000 morts par le virus d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Les inquiétudes sont extrêmement grandes au niveau des institutions inter gouvernementaux et gouvernementaux. Les autorités officielles présentent à la 69e session de l’Assemblée générale des Nations – Unies sont intrinsèquement conscientes des RRC de l’évolution de la maladie hémorragique à virus d’Ebola dans la sous-région (UEMOA, CEDEAO) et ses impacts à Court, Moyen et Long termes sur l’Environnement économique, financière, monétaire, sanitaire, sécuritaire etc. La dégradation continue des systèmes de survie des populations vulnérables en Afrique de l’ouest touchées par le virus d’Ebola exige une attention particulière aux autorités de mettre en place une organisation et des critères de sécurité et de sûreté en Approche et Planification RRC avec tous les acteurs de développement.
Les OMD ne seront pas atteints en 2015 faute de n’avoir pas intégré les Droits Humains (Approche AIDH). Le Représentant résidant de la FAO à Dakar a demandé une aide d’urgence de 30 millions de dollars pour l’insécurité alimentaire dans le Sahel. A la dernière conférence des Nations Unies, le SG de l’ONU vient de rappeler que sur les milliards de Dollars pour intervenir sur les ravages du virus d’Ebola seul le quart est mobilisé par un Donneur individuel et la France a promit d’installer un Centre de traitement en Guinée forestière. L’ONG- MSF a déjà lancé une alerte d’urgence précoce. Il y a une exigence de l’heure pour une Solidarité internationale et une Coopération mutuelle pour venir à bout de l’épidémie d’Ebola entre les décideurs (Etats, ONU, UA, UE, UEMOA, CEDEAO, Agences de coopération …) et les acteurs (organisations et individualités de la Société civile et du Secteur privé lucratif et non lucratif   en Afrique d’abord et dans le monde).

Les Risques en Communication de crise pour les intervenants sur le terrain des opérations, les besoins multidimensionnels (monnaies, médicaments, aliments et nourriture, logistiques et équipements etc.) exigent une mutualisation de tous les acteurs  et décideurs au niveau collectif et individuel. Le  fait de mettre en commun l’ensemble de nos idées nous permet de développement et d’atteindre les principes de durabilité des OMDs au-delà de 2015, à partir des traités et conventions internationales, une meilleure pratique pour la « FAMILLE HUMAINE » définie dans la Charte des Nations Unies.

Autrement dit, quelque chose ne fonctionne avec nos « systèmes alimentaires », selon la FAO. Dans la mesure où « la santé des populations dépend de systèmes alimentaires sains », la collaboration entre les organisations internationales – et en particulier celles ayant leur siège à Rome (FAO, FIDA, PAM), comme soulignait dans le Mot du Représentant de la FAO lors de la JMA 2013 «  Des systèmes alimentaires durables au service de la sécurité alimentaire et de la nutrition » (…).

Suite à toutes ces idées développées précédemment, dans notre position ultra – stratégique de SOCIETE CIVILE AFRICAINE ET INTERNATIONALE entre les institutions intergouvernementales et gouvernementales, nous avons beaucoup participé à l’appropriation et l’intégration des principes de durabilité à travers les Recommandations finales de la CIPD’94 et la CIPD+20 / SRAJ 2020. Nous avons mené un Plaidoyer international fort auprès de l’OMS une maternité à risque zéro et la détermination les causes en se référent à des facteurs médicaux et socio-juridiques ainsi qu’au système de santé et la promotion des droits de la femme (Conférence de Beijing). Lors de nos travaux d’analyse des systèmes de DSRP en 2004 avec le Groupe de la Banque Africaine de Développement, nous avons travaillé ensemble avec l’Equipe Régionale d’Appui technique pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre du FNUAP (UNFPA) dans le cadre d’implication des consultants ou des Cabinet de Conseils opérationnels et d’accompagnement de terrain et la Gestion des SIG des Programmes – Pays. 

Avec les indicateurs en RRC de la fièvre hémorragique d’Ebola (exemple salutaire de SAP de l’ONG – MSF), la Traite des personnes et le vide juridique de législation pour le Marché d’organes et de tissus humains et les limites dans les DAO du Secteur de la Santé, l’Afrique de l’Ouest est dans l’impératif d’impliquer et d’intégrer les organisations et individualités de la Société civile et du Secteur privé, les Consultants et Cabinets de Conseils opérationnels nationaux, les Familles, les Collectivités locales et municipales dans la Gestion Axée sur les Résultats ( GAR) à forte valeur ajoutée humaine.

Déroulement de l’Atelier d’Eté 2014 à Fatick

Après l’installation et la mise en place des participants et  des femmes de WOMEN FOR WOMEN EMPOWERMENT PROJECTS – WFMEP, les présentations ont permis de mieux se connaitre.
Les deux Pasteurs de Dakar et de Kaolack ont débuté l’Atelier par des prières de paix et de santé durable à toute la « Famille Humaine ». Ils ont aussi assuré une présence effective de position de Société civile religieuse durant tout le déroulement de l’Atelier.
Le Débat et les Echanges avaient comme Modérateur – Facilitateur Babacar NDIAYE / AFRICAN & WORDL CIVIL SOCIETY’ Expert

Première Communication de l’Infirmier Chef de Poste (ICP) de Fatick
La Première Communication a été présentée par Mr A. LY, Infirmier Chef de Poste (ICP) de Fatick autour du sous – thème « Santé de la Mère et de l’Enfant ».
 Deuxième Communication de l’Expert de la Société civile de l’Education et du Développement de Dakar 
La  Deuxième Communication a été présentée par Babacar  NDIAYE, Expert de la Société  du Collège des experts du Cabinet CPEE du Groupe WLD 2000 de Dakar autour d’un  sous – thème n°1 sur « l’Entreprenariat et la Micro –entreprise » et d’un sous - thème n°2 sur « l’Elaboration et la Formation de Projet ».
 Þ  Résumé du sous – thème n°1 sur « l’Entreprenariat et la Micro –entreprise »   

Atelier de Formation et Renforcement de capacité – Août 2014
Sous -Thème : « ENTREPRENEURSHIP ET MICRO-ENTREPRISE »

Sommaire de la Présentation
I-                    Qui est Babacar  NDIAYE
II-                  Contextualisation
III-Les fondements
IV-Les Objectifs
V-les Activités de développement
VI-Etude de quelques  cas de réussite

Þ Résumé du sous - thème n°2 sur « l’Elaboration et la Formation de Projet »

A travers la Communication de ce sous - thème n°2, nous avons fait un Cour interactif et participatif aux femmes sur  la Formation et les techniques d’Elaboration d’un Projet à travers l’Etude des Besoins de  Marché, l’Etude Sociale et l’Etude technique en Besoins Inputs et autres moyens.
Troisième Communication de l’Experte du Crédit Mutuel du Sénégal - CMS Agence de Fatick
La  Troisième Communication a été présentée par A. FAYE Agent et Experte du Crédit Mutuel du Sénégal – Agence CMS de Fatick sur « l’Accès au crédit pour les Femmes »
Débat et Echanges avec le Modérateur – facilitateur AFRICAN & WORDL CIVIL SOCIETY’ Expert
En tant que Modérateur – Facilitateur, Expert de la Société africaine et internationale, nous avons commencé par décliner la grande expérience capitalisée depuis une dizaine d’années à participer dans des thématiques de réflexion autour de la Promotion et de la Protection des Droits Humains de la  Femme et de l’Enfant sur le plan national, sous régional, régional et international à savoir l’accès à la terre aux femmes, la Convention sur l’Elimination et la Discrimination à l’Egard des Femmes (CEDAF), les SRP féminines, les MGF, l’Entreprenariat féminin, Expert de l’INDH à la CADH / UA  et Analyse des pré-rapports EPU Sénégal / ONU etc.

En expliquant le Droit à la participation et les Droits humains de 3e Génération garantis par les textes et instruments juridiques internationaux ratifiés par le Sénégal, nous avons expliqué la Transversalité et la Sectorialité de l’OMD 3 « Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes »l’OMD 4 «  Réduire la mortalité infantile » et l’OMD 5 « Améliorer la santé maternelle » par rapport aux 08 OMDs.

Pour insister sur les urgences actuelles d’insécurité alimentaire et nutritionnelle sévères au Sénégal, nous rappelons que les femmes sont responsables de la nutrition de leur famille et de la production des aliments de subsistance dans une grande partie du monde. Mais, nous avons aussi décidé que les femmes de WOMEN FOR WOMEN EMPOWERMENT PROJECTS – WFMEP s’organise davantage pour exiger auprès du Gouvernement de la République du Sénégal et des institutions intergouvernementales qu’une discrimination positive soit établie pour affecter une somme du Budget d’achat de vivre pour la Sécurité alimentaire et nutritionnelle à leur production locale.   

A 18H15 mn, nous avons levé la séance en promettant les femmes de WOMEN FOR WOMEN EMPOWERMENT PROJECTS – WFMEP de s’organiser davantage dans un futur proche pour nous permettre leur capacité à d’autres problématiques transversales de Développement propre et Croissance soutenue auprès des institutions et PTFs.
Pour
Le Responsable
Transversalité et Redéploiement d’expertise  
Et de compétences
Source : Volet Information et Communication Durables / Cabinet CPEE / Groupe WLD 2000
Adresse: CP13522, BP 37171 Dakar  / Sénégal
Tel: + 221 77 539 47 35 / +221 77 320 23 29 +221 76 679 70 23 / +221 70 780 83 28;
+221 77 218 04 08 (Service Finances, Administration de Crédits et Recouvrement)
E-mail : groupe.worldleadership2000@gmail.com;  recouvrementcbis@gmail.com

§§§§§§….Notre Savoir – faire, Notre Stratégie du Faire- Faire, Notre Approche Compétences (APC), Notre Approche Intégrée Droits de l’Homme (AIDH),  pour vous satisfaire…§§§§§     

1 Comments:

Anonymous Anonymous said...

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7:36 PM  

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