FMI et Banques centrales: déficit de mise en oeuvre de l'information financière pour les acteurs de la société civile
« Mais pour le public, le FMI est une vaste zone d’ombre. Et dans un certain sens, ce n’est pas totalement faux. Le FMI reste moins transparente que bien des banques centrales aujourd’hui. Que faire ? » disait Mr Ted TRUMAN, Expert, Maître de Conférences à l’Institute for International Economics, Ancien – sous secrétaire au Trésor américain pour les affaires internationales et Directeur de la Division des finances internationales de la Réserve fédérale.
Impliqué dans les réflexions sur le développement durable et la Croissance économique soutenue (DD/CES), Acteur de la Société civile, voilà, au moins une production intellectuelle à forte valeur ajoutée pour les banques centrales subsahariennes. Les banques centrales subsahariennes doivent travailler davantage avec la Société civile africaine pour analyser les concepts de Croissance économique soutenu, de Croissance soutenable et d’Investissements soutenables.
Là où le PNUD parle dans sa définition « des caractéristiques de la société civiles moderne », là où l’UE parle d’ « Acteurs Non Etatiques », il me semblerait que l’observation de la Banque mondiale sur la société civile mérite une attention particulière avec l’extrême précarité en Afrique subsaharienne.
La Banque mondiale a surtout commencé à coopérer avec la société civile dans les années70 sur des questions environnementales.
Sur ce, je penserais que c’est de cette longue expérience que l’ancien Président de la Banque mondiale, Mr J.D .Wolfensohn disait que : « La Société civile, avec ses différentes composantes, est probablement l’acteur de développement le plus large et le plus diversifié. Si ce n’est à travers sa contribution monétaire, c’est certainement grâce à sa contribution humaine, à son expérience et son histoire ». En analysant fonctionnellement ces dires, le problème de l’approche participative et de la dynamique participative pourrait être résolu de manière durable en Afrique.
Babacar NDIAYE
Consultant Sustainable Development and Sustained economic growth (DD/CES)
World Civil Society’s Actor
Adresse : B.P.37171, 13522 Dakar / Sénégal.
Tél : +221 5394735
eMail : worldleadership_2000@yahoo.fr
eFax : +33 8 26 41 53 36
Impliqué dans les réflexions sur le développement durable et la Croissance économique soutenue (DD/CES), Acteur de la Société civile, voilà, au moins une production intellectuelle à forte valeur ajoutée pour les banques centrales subsahariennes. Les banques centrales subsahariennes doivent travailler davantage avec la Société civile africaine pour analyser les concepts de Croissance économique soutenu, de Croissance soutenable et d’Investissements soutenables.
Là où le PNUD parle dans sa définition « des caractéristiques de la société civiles moderne », là où l’UE parle d’ « Acteurs Non Etatiques », il me semblerait que l’observation de la Banque mondiale sur la société civile mérite une attention particulière avec l’extrême précarité en Afrique subsaharienne.
La Banque mondiale a surtout commencé à coopérer avec la société civile dans les années70 sur des questions environnementales.
Sur ce, je penserais que c’est de cette longue expérience que l’ancien Président de la Banque mondiale, Mr J.D .Wolfensohn disait que : « La Société civile, avec ses différentes composantes, est probablement l’acteur de développement le plus large et le plus diversifié. Si ce n’est à travers sa contribution monétaire, c’est certainement grâce à sa contribution humaine, à son expérience et son histoire ». En analysant fonctionnellement ces dires, le problème de l’approche participative et de la dynamique participative pourrait être résolu de manière durable en Afrique.
Babacar NDIAYE
Consultant Sustainable Development and Sustained economic growth (DD/CES)
World Civil Society’s Actor
Adresse : B.P.37171, 13522 Dakar / Sénégal.
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