Conférence Annuelle DPI - ONG
Réforme du système des Nations Unies : Pourquoi l’Afrique n’a pu atteindre ses objectifs ?
Conférence Annuelle Département de l’Information (DPI /ONU) – Organisations Non Gouvernementales (ONG), Promenades ou Ballades des ONG ?
Levons tout équivoque! Les ONG africaines n’ont pas les moyens de se prendre en charge pour la participation. Un Président d’ONG africaine, avec un billet d’avion mis à sa disposition, ne laissera jamais cette opportunité à son chargé de communication. L’année dernière, lors de la 57e Conférence Annuelle DPI / ONG pour la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), j’ai uniquement confiné dans un document ma contribution et l’envoyé à l’Administration du PNUD. Depuis, j’ai adopté une position d’OBSERVATEUR.
Maintenant l’objectif de la Résolution de l’Assemblée Générale sur la Réforme des Nations Unies « d’accorder à l’Afrique deux siéges permanents et cinq siéges non permanents au sein du Conseil de sécurité » n’a pas été atteint. La dernière Conférence de l’Assemblée Générale des Nations Unies s’est tenue récemment à son siége.
A mon avis le véritable problème de l’Afrique, le débat n’a pas été suffisamment démocratisé au niveau le plus bas. Par exemple dans le Programme en instruction civique des élèves au BFEM (Brevet de Fin d’Etudes Moyennes), il y a un chapitre sur l’ONU. Pourquoi ne pas demander à l’Association des Professeurs d’Histoire et de Géographie de produire dans un document leur avis sur la Réforme du Conseil de sécurité.
De même pour les OMD, l’Afrique ne pourra les atteindre d’ici 2015. Pourquoi ne pas accorder l’assistance aux individualités et différentes composantes de la société civile et du secteur privé africains afin de produire dans un document les analyses et recommandations sur la Réforme du Conseil de sécurité mais aussi sur la Gestion et le Contrôle opérationnels de l’ONU.
Les raisons pour lesquelles j’ai adopté un statut d’Observateur peuvent être étayées dans ces quelques mots lors de la Réunion des Représentants résidents du PNUD – région Afrique de l’Ouest et du Centre, RBA (Regional Bureau for Africa) Cluster Meeting Dakar 21-25 février 2005. Lors de cette réunion, M. Albéric Kacou, Coordonnateur Résident des Activités opérationnelles du PNUD, dans son allocation, disait : « Dés lors, il semble pertinent de demander aux institutions que nous représentons, mais aussi aux gouvernements, que nous appuyons, d’être plus proactifs et plus innovateurs, pour inverser certaines tendances actuelles et pour redynamiser davantage les acquis de la coopération internationale. Dans cette perspective, il nous apparaît déterminant de privilégier une approche intégrée et multidimensionnelle de nos intervenions en vue de consolider les cadres stratégiques de développement à long terme et de mobiliser les forces vives et les partenaires au développement, autour des OMD. » Ces observations sont aussi transversales pour les Assemblées Générales du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds Monétaire International (tenues le samedi 24/09/2005 à New York), de même pour la Réunion des Ministres de l’Economies et des Finances du G7 tenue en marge (le vendredi 23/09/2005 à New York).
A l’ensemble des considérations ainsi formulées, il faut élargir le niveau du débat et permettre la contestablité à tous les acteurs africains, éviter le contexte entre élites, spécialistes ou consultants. Ensuite comme solution finale, dégager un Protocole Africain et / ou une Feuille de route pour l’exécution. A l’instar même, je continue d’adopter une position d’Observateur pour mieux vulgariser mes participations à la Recherche Développement et à la Recherche Action.
Conférence Annuelle Département de l’Information (DPI /ONU) – Organisations Non Gouvernementales (ONG), Promenades ou Ballades des ONG ?
Levons tout équivoque! Les ONG africaines n’ont pas les moyens de se prendre en charge pour la participation. Un Président d’ONG africaine, avec un billet d’avion mis à sa disposition, ne laissera jamais cette opportunité à son chargé de communication. L’année dernière, lors de la 57e Conférence Annuelle DPI / ONG pour la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), j’ai uniquement confiné dans un document ma contribution et l’envoyé à l’Administration du PNUD. Depuis, j’ai adopté une position d’OBSERVATEUR.
Maintenant l’objectif de la Résolution de l’Assemblée Générale sur la Réforme des Nations Unies « d’accorder à l’Afrique deux siéges permanents et cinq siéges non permanents au sein du Conseil de sécurité » n’a pas été atteint. La dernière Conférence de l’Assemblée Générale des Nations Unies s’est tenue récemment à son siége.
A mon avis le véritable problème de l’Afrique, le débat n’a pas été suffisamment démocratisé au niveau le plus bas. Par exemple dans le Programme en instruction civique des élèves au BFEM (Brevet de Fin d’Etudes Moyennes), il y a un chapitre sur l’ONU. Pourquoi ne pas demander à l’Association des Professeurs d’Histoire et de Géographie de produire dans un document leur avis sur la Réforme du Conseil de sécurité.
De même pour les OMD, l’Afrique ne pourra les atteindre d’ici 2015. Pourquoi ne pas accorder l’assistance aux individualités et différentes composantes de la société civile et du secteur privé africains afin de produire dans un document les analyses et recommandations sur la Réforme du Conseil de sécurité mais aussi sur la Gestion et le Contrôle opérationnels de l’ONU.
Les raisons pour lesquelles j’ai adopté un statut d’Observateur peuvent être étayées dans ces quelques mots lors de la Réunion des Représentants résidents du PNUD – région Afrique de l’Ouest et du Centre, RBA (Regional Bureau for Africa) Cluster Meeting Dakar 21-25 février 2005. Lors de cette réunion, M. Albéric Kacou, Coordonnateur Résident des Activités opérationnelles du PNUD, dans son allocation, disait : « Dés lors, il semble pertinent de demander aux institutions que nous représentons, mais aussi aux gouvernements, que nous appuyons, d’être plus proactifs et plus innovateurs, pour inverser certaines tendances actuelles et pour redynamiser davantage les acquis de la coopération internationale. Dans cette perspective, il nous apparaît déterminant de privilégier une approche intégrée et multidimensionnelle de nos intervenions en vue de consolider les cadres stratégiques de développement à long terme et de mobiliser les forces vives et les partenaires au développement, autour des OMD. » Ces observations sont aussi transversales pour les Assemblées Générales du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds Monétaire International (tenues le samedi 24/09/2005 à New York), de même pour la Réunion des Ministres de l’Economies et des Finances du G7 tenue en marge (le vendredi 23/09/2005 à New York).
A l’ensemble des considérations ainsi formulées, il faut élargir le niveau du débat et permettre la contestablité à tous les acteurs africains, éviter le contexte entre élites, spécialistes ou consultants. Ensuite comme solution finale, dégager un Protocole Africain et / ou une Feuille de route pour l’exécution. A l’instar même, je continue d’adopter une position d’Observateur pour mieux vulgariser mes participations à la Recherche Développement et à la Recherche Action.
The Babacar 1 Ndiaye Model
Babacar NDIAYE
African Civil Society’s Member
World Civil Society’s Member
International Email: worldleadership_2000@yahoo.fr
Adress: B.P.37171Dakar-Grand Yoff / SENEGAL
0 Comments:
Post a Comment
<< Home