Monday, June 20, 2005

An Advice for the Paul Wolfowitz's New Leadership Successful


In my position of Former Young African Modern Civil Society and World Civil Society’s Lider-Actor, I am very happy to receive the first visits in Africa of M. Paul Wolfowitz NewPresident. of World Bank Group. We will maintain this “fight for the challenge of poverty in the world” particularly in Subsaharian Africa.
From 1980 to 2000, there are billions $ invested Africa in the projects and programs of Sustainable Development. Why actually say Extreme Poverty? Because these standards were not spelt out or adapted to local conditions and were not easy accessible to an interested public. The first of these was the lack of adequate staff, environmental considerations, environmental monitoring and sustained monitoring leadership. These difficulties with leadership monitoring were attributed to two reasons: the lack of moral and financial support from the authorities of the investment projects and programs, and on the other hand, the low funding priority attached to the private sector and the civil society sector. Significant implication and integration of the youngs poores promoters and youngs poores entrepreneurs (such as Capacities Building in sustainable development) were completely unregulated…
Secondly lack of appreciation for performance, alleged favouritism in treatment of staff, lack transparency in the recruitments, lack monitoring capability, lack of youngs professionals programs in the multilateral and bilateral institutions etc…


En el boletín del Banco mundial N°33/12 avril 2005, destacamos que : « …África al sur de Sahara enfrenta el peligro no cumplir con ninguno de los objectivos de desarollo del milenio … », es la verdad absoluta . De 1999 a 2004, el África ha conocido 186 golpes de Etado, 26 guerras y de innumerables conflictos menores. Estas violencias han hecho más de 7 millones de muertes. Han costado 250 millónes de $ y han participado al huecomente de la deuda que es hoy día a 305 mil millónes de$ por el todo del África. A poco cerca 15 millónes de Áfricanos serían muerte SIDA, y 26 millónes de personajes cuyas muchas de refujes son seropositives.

Debemos fondamentalmente integrar los jóvenes empresarios y Líder en las estrategias de acción por un objectivo sostenible. Los jóvenes representan el futuro. Entonces, las Pragramas Jóvenes Profesionales del Banco mundial deben considerar este fecha. Alejar la discriminacinón de jóvenes que sufren de la bacteria HIV, valorizar el articulo 14 de la Convención internacional sobre la discriminación de las mujeres (CEDAW) y la discriminacinón de la educación superior. El Banco mundial permitío a los jóvenes profesionales de integrar los proyectos y programas de desarollo sostenible en particularidad el África subsahara. El desarollo de capacidades y los talentos vía Investisamentes y programas sostenibles del Banco mundial. Muchas obstáculos a la promoción de jóvenes en los Cuadros estrategias internacionales de luchar contra la Pobreza Humana (BM,ONU,FMI,BMD …).

Para apuyar mis dichos, Sr Gordon Brown, Chancelier de l’Echiquier du Royaume Uni y Presidente CMFI ha declarado a la prensa que, « si las tendencias actuales permanacerían, tenería que 150 años para atendar cíertos objectivos (OMD) » y J.D.Wolfensohn Presidente del Banco mundial « … en el mundo de hoy, cada de entre nosotros no esta solamente un ciudadano nacional pero también mundial », ha dicho, aumentando que « si los dirigentes mundiales no se implican de una macera más visible, no se cumpliremos de progresos decisivos cuyos hamos necesidad para asegurar veritablemente la seguridad y la paz » ( en Boletín FMI No 18 de 18 de octubre de 2004 Vol.33 página279).

A lo largo de toda su carrea, Sr Victor Urquidi ( traba jó después para el Banco mundial y la Commisión Ecónomica para Améreica latina de la ONU) abogó firmente
por la idea de que soló el desarollo económico sostenible podría finalmente reducir la pobreza y las desigualdades no soló en Mexico, sino también en toda América latina.

De la emergencias de los proyectos petróleas en África ( Tchad, Gabon, Mauritania, Guinée…), los dineros proporcionados por « El oro negro » pueden promover el crecimiento sostenible, pero tiene que acompañar la explotación por la transparencias y la equita en la gestión, la estabilidad política y sobre todo los principios de la buena gobiernante económico. Los jóvenes tchadianos en formación en las programas especiales en relación con el proyecto petrólea pero las casas se pasan en la clandestinidad y en el círclo de los próximos de los gentes al poder. Y este es valable por toda la juventud africana desamparada, porque amenazada de todas partes por las crisis socio-económicos, la pobreza, el desempeo, la mondialización, el desmoranamiente de las valores culturales y morales, haciendo sigue a la explosón de la TIC…

Según el boletín, los obstáculos a la descentralización de los proyectos cooperación pública privada ( PPP=Public Private Partnerships) de África en particularidad el África al sur del sahara : pobre monitoreo de la calidad, sobrecargas de trabaja e insuficiencias de recursos, falta de transparencias, diferentes categorías de actores sociedad civil, sector privado y sector público, insuficientes competencias, obstáculos culturales. El ejemplo de Péru me seducen mucho en PPP como el Proyecto de Redución de la Pobreza (PRA) con USAID,IIRSA Proyectos Transportes Tarapoto-yurimagas, Naranjitos-Torontochaca, Rioja-Corral Quemado, Amazone Norte…


Aujourd’hui, la situation de l’Afrique est telle que les contribuables britanniques et américains sont en train de réfléchir sur l’impactage de leur argent dépensé en Afrique sans résultats viables et durables. Comment relever les défis de réalisation des Objectifs de Développement du Millénaire (OMD) en Afrique d’ici 2015 ? Comment articuler les OMD, les DSRP et le NEPAD en Afrique ? Deux questions qui ne sont pas encore résolues au niveau des institutions multilatérales et bilatérales. M. Wolfensohn, avant son départ à la tête de la Banque, avait beaucoup plaidoyer pour une intégration d’urgence des jeunes dans les projets et programmes de la Banque (Réf : UN NOUVEL AQUILIBRE : quel leadership pour le monde ? – J.D.Wolfensohn Président du Groupe de la Banque mondiale, Discours prononcé devant le Conseil des Gouverneurs à Dubaï le 23/09/2003). Il est fondamental d’harmoniser les CSLP, les projets et programmes de développement soutenables aux besoins des jeunes.
J’ai vraiment confiance au leadership de confirmation et d’affirmation qui vient de démarrer avec M.Wolfowitz. « Admettre qu’il y ait des gens qui restent à la traîne est un échec pour tous », avait dit le Nouveau Président de la Banque, M.Paul Wolfowitz en annonçant son intention d’effectuer une visite à l’Afrique. « Le message d’histoire contemporaine est sans ambiguïté à ce sujet : le monde est petit, et les bénéfices du progrès tout comme les souffrances du désespoir ont un impact à l’échelle mondiale », selon toujours M.Wolfowitz. En tant que citoyen du monde et Lider-Actor of the World Civil Society, nous ne pouvons qu’apprécier ces prises en compte de l’approche Droits de l’Homme dans le Développement durable et la redistribution de la croissance mondiale.
Il est important de souligner aussi que pour la « non-atteinte des OMD » en Afrique subsaharienne, le problème ne se situe pas sur « le repositionnement adéquat d’une telle Agence d’institutions multilatérales ou bilatérales » ou « un plan d’action pour amener telle Agence d’institutions multilatérales ou bilatérales à s’engager davantage » pour la réalisation des OMD. Le partenariat au développement entre les différentes institutions multilatérales et bilatérales (BM, FMI, SNU, TICAD, BAD, ADB, USAID…) en Afrique sont vraiment à encourager par rapport aux années 80. Les programmes de renforcement de capacités en Afrique pour les différents acteurs ( secteur public, secteur privé et société civile), c’est là où il y a des difficultés. Les critères d ‘accès ne sont pas adéquats. Les programmes de renforcement de capacités et de compétences comme ceux de la Fondation ACBF en Afrique ne sont pas accessibles à une grande majorité et les opérationalisations dans ce sens posent quelques problèmes surtout avec la complexité de la société civile africaine. Depuis le 12 juin 2005, le Nouveau Président de la Banque, M.Paul Wolfowitz est en train de visiter quatre pays africains (Nigeria, Burkina Faso, Rwanda et l’Afrique du Sud). Connaissant l’historique de ses quatre pays, ils porteront les vraies souffrances de la jeunesse africaine. « J’ai l’intention de rechercher dans le monde entier les talents pour doter la Banque d’une haute direction véritablement multinationale », avait déclaré M.Wolfowitz dans le Jeune Afrique l’Intelligence N°2308 du 03 au 09 avril 2005. Dans ce nouveau millénaire, il y a des paradoxes compétenciels qui ne sont pas bien maîtrisés dans les systèmes francophones. L’exemple extraordinaire du cursus de M.Karl Rove, Conseiller Politique du Président des Etats Unis est un exemple de réussite qui pourrait beaucoup motiver les jeunes africains promoteurs et entrepreneurs pauvres.
Je terminerais en rappelant que le leadership de confirmation fera un effet positif pour les jeunes subsahariens : « Il n’y a rien de plus gratifiant que de pouvoir aider ceux qui sont dans le besoin et d’offrir à chacun la possibilité de réaliser tout son potentiel », avait déclaré M.Wolfowitz lors de sa prise de fonction, le 1er Juin 2005.
J’aimerais souligner que M. Wolfowitz, durant son invitation à la RFI le Samedi 18/06/2005 à 12h45TU, dans son entretien avec le journaliste M.Assane Diop sur sa visite en Afrique, a souligné: "L'Afrique, premier priorité de la Banque mondiale...". Dans le document de la Banque mondiale "Public Information Centers - An Overview" à la page 4, il est dit "Puisque nous ne sommes pas tous des francophones..." mais, M.Wolfowitz a parlé et répondu directement en français les questions de M.Assane Diop. C'est un bon signe pour les jeunes en Afrique francophone surtout avec les barriéres linguistiques. Il est urgent dans cette contexte avec la situation de l'Union Européenne de croire à la jeunesse africaine dans toutes ses capacités et ses potentialités. Toujours dans le cadre des missions de la Banque : « Lutter contre la pauvreté pour obtenir des résultats durables ; Aider les populations à se prendre en charge ; Exceller en tant qu’institution capable d’attirer, de motiver et de développer un personnel dévoué… ».


The Principal Administrator
The Principal Competence:
Promotor Económico y Empresario (P.E.E)
Promotor Económico e Empresário (P.E.E)
And the subsidiary competence :
Líder-Actor de la Sociedad civil mondial





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