Monday, April 22, 2013

RESILIENCE AND RIVERSYMPOSIUM WITH THE WLD 2000 GROUP


INTERNATIONAL  RIVERSYMPOSIUM


Oral and Poster Presentation / Interactive Workshop
Abstract Template

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Title of Abstract/ Workshop with a maximum of ten words


                                GROUPE WORLDLEADERSHIP 2000
“Groupe WLD 2OOO”
Cabinet de Conseil opérationnel d’assistance et d’accompagnement, de Promotion Economique et d’Entreprenariat
« Cabinet CPEE »
Développement Durable et  Croissance Economique Soutenue – DD/CES
Promotion Socio-économique Soutenue et Entreprenariat Social et Sociétal pour un Développement Humain Durable


ABSTRACT   SUBMISSION

THE 16th INTERNATIONAL RIVERSYMPOSIUM

GENERAL THEME: “RIVERS: linking Water – Energy – Food”

23 – 26 September 2013, Brisbane, Australia

Réf: N°012 / BN / GWLD 2000 / 2013 / Cabinet CPEE

Title: An example of low vulnerability, resilience and main adaptability of people in need. In fact, we are integrated 5 Session themes in the General theme above.

An example: Toumania Falls. Far from 46 Km of Kedougou / Senegal, it is located at 12°27 N and 11°59 W with 5 to 10 meters feet. It has high velocity particularly in July and December. Even if this velocity is low at January and February its two rivers Khonikhonya and Wassaya could permit to have new kinds of fish able to provide for people of villages near river and food production (Aquaculture) near Konsi River in the heart of Fongolimbi area, this river is at to 2 meters feet. With high velocity at June and September Experts of WLD 2000 Group plane to build Hydroelectric Central with HK Firm we could have 2 MW power. Advantage would be to have autonomy towards Thermal Central with represented and use 76 % of imported fuel by Senegal.

Another way to face new paradigms in a changing world. The third river been in the first triangle of the Star river system in this eathern mineral area of Senegal  is Ségou Falls located from 34 Km of Kédougou. The mineral town of Senegal, this fall is 30 to 40 meters feet, has low velocity in March and June and high velocity July and December. WLD 2000 Group has here Green City Plan, which will be, Ségou City Rivers with miradors and ecological architecture for new people of borders area forth path of this Rivers Systems economic in build, Dimboli Falls, 20 to 30 meters feet an average velocity in January. This river is 26 Km far from Kédougou the main eathern city of Senegal. Here WLD 2000 Group has a Project of Green Hospital for developing Local Knowledge’s in health.

Finally the pathway to Sustainability is at 12°24 N and 12°27 W, with 30 to 40  feet this fall is far from 35 Km of Kédougou and is the last point of the City Star Rivers of eathern Senegal.

 Abstract Submission, Dakar, Senegal, le 19 Février 2013



Pool of Experts


Mr. Babacar  NDIAYE Expert
Développement Durable et Croissance Economique Soutenue (DD / CES)
Sustainable Development & Economic Sustainable Growth (SDESG)
Tél : +221 77 539 47 35
Mr. Déthié DIOP Expert
Développement Durable,
Biotechnologie et Droit de la Propriété
Sustainable Development, Biotechnology & Propriety Right;
 Tél : + 221 77 597 28 63








Source : Volet Information et Communication Durables / Cabinet CPEE / Groupe WLD 2000

Adresse: CP13522, BP 37171 Dakar  / Sénégal
 Tel: + 221 77 539 47 35 / +221 76 679 70 23 / +221 70 780 83 28;
 R.C: SN   DKR – 2012 – A – 2191; NINEA: 004522589
Banque: BRS Sénégal – SN125  01001  018030040106  33
IMF: Pamecas Grand Yoff Dakar N°21532; U-IMEC Liberté 6 Dakar N° 2320
E-mail : groupe.worldleadership2000@gmail.com  


Notre Savoir – faire, Notre Stratégie du Faire- Faire, Notre Approche Compétences (APC), Notre Approche Intégrée Droits de l’Homme (AIDH),  pour vous satisfaire.

Propriété Intellectuelle et Innovation technologique: Quel Schèma de Financement


GROUPE   WORLDLEADERSHIP   2000
“Groupe WLD 2OOO”
Cabinet de Conseil opérationnel d’assistance et d’accompagnement, de Promotion Economique et d’Entreprenariat
« Cabinet CPEE »
Développement Durable et  Croissance Economique Soutenue – DD/CES
Promotion Socio-économique Soutenue et Entreprenariat Social et Sociétal pour un Développement Humain Durable

Code Réf: N°004 / BN / GWLD 2000 / 2013
Schéma de Financement de la Propriété Intellectuelle et du Développement de l’Innovation     
Les banques populaires,
Le crédit documentaire, moyens de paiement en banque : schéma de financement d’un projet Energies Nouvelles ET Renouvelables (ENR) et d’innovation technologique
Dakar, Sénégal – Janvier 2013
Déthié  DIOP
Expert  Développement Durable,
Biotechnologie et Droit de la Propriété
Tél : + 221 77 597 28 63

SOMMAIRE                    
GENERALITES
RESUME EXECUTIF
INTRODUCTION
I - NOTES SUR LES OPERATIONS DE BANQUES 
1) REGLEMENTATION DE L’ACTIVITE BANCAIRE
2) APPERÇU SUR LES DEPÔTS EN BANQUE
3) REGARD SUR LES DIFFERENTS COMPTES BANCAIRES ET SERVICES BANCAIRES
II - LE CREDIT DOCUMENTAIRE
1) NOTE INTRODUCTIVE SUR LES MOYENS DE PAIEMENT EN BANQUE
2) MOBILISATION DES CREANCES COMMERCIALES ET OPERATIONS DE CREDIT COMMERCIAL – L’INVESTISSEMENT DE PORTEFEUILLE A LONG TERME
III - ANALYSE DE LA CONVENTION DE CRDEDIT
1) OPTIMISATION D’UN MODELE DE FINANCEMENT D’UN PROJET ECO – ENERGETIQUE
2) LE MANDAT ENERGETIQUE
3) MONTAGES FINANCIERS
IV - SYNTHESE / CONCLUSIONS – EXPERIENCES CROISEES
QUELQUES REPERES STRATEGIQUES DU Groupe WLD 2000

  
Généralités
Les mouvements de capitaux à long terme s’effectuent à l’aide d’instrument dont l’échéance est supérieure à un an. Le Capital à long terme est en général représenté par des actions et des obligations. Le crédit à court terme est caractérisé par sa durée qui ne peut excéder deux ans. Le crédit commercial est directement lié à l’activité de l’entreprise, il s’agit presque toujours d’une créance commerciale dont le recouvrement ultérieur assure le remboursement.
Résumé exécutif
Le rôle essentiel des banques est d’intervenir dans le circuit monétaire pour fournir aux entreprises et cabinets les crédits dont elles peuvent avoir besoin pour leur exploitation. L’opération de crédit est caractérisée par la réunion de deux facteurs : le temps et la confiance. Pour qu’il y ait crédit il faut d’une part un décalage dans le temps entre la remise d’un Capital et la restitution de ce Capital (ou de son équivalent) par le bénéficiaire du crédit et d’autre part l’assurance fondée sur la personnalité du crédité ou sur les garanties qu’il peut apporter que la somme avancée sera restituée à l’échéance. C’est parce que le risque existe pour le fournisseur de crédit qu’il est calculé. La durée du décalage entre la remise des fonds et leur restitution permet de classer les crédits à trois (03) catégories :
─ Le crédit à long terme dont la durée est généralement supérieure à cinq ans ;
─ Le crédit à moyen terme dont la durée est comprise entre deux et cinq ans ;
─ Le crédit à court terme d’une durée inférieure à deux ans. 
Introduction
Contrairement à la Convention de crédit par exemple, qui n’est prévue par aucun texte, et qui constitue entre le banquier et son client un client innomé dont l’objet serait un « crédit à consentir ». Un contrat conclu intuitu personae.  L’opération de crédit implique par sa nature même la confiance réciproque des parties. Il prend fin par le décès, la liquidation des biens ou l’incapacité de l’une des parties et s’il s’agit d’une société par la dissolution de celle-ci. Entre autres moyens de paiement en banques le crédit à court terme se prête bien aux opérations de financement de la politique des mandats énergétiques par exemple. Notamment le Crédit documentaire apparait comme une alternative de financement des Energies Nouvelles et Renouvelables - ENR (énergie solaire, éolienne, biocarburant) même s’il est lié à la forme des ventes maritimes.
I - Notes sur les Opérations de Banque
Les opérations de banque sont faites le plus souvent dans le cadre d’entreprises spécialisées dans le commerce de l’argent : les banques. Mais à côté des banques existent des Etablissements financiers qui effectuent des opérations de même nature et qui au lieu d’utiliser les fonds provenant des dépôts de leurs clients travaillent avec leurs propres capitaux.
1) Réglementation de l’Activité bancaire
La nécessité d’un contrôle de la circulation monétaire dans une économie moderne à conduit le Législateur à mettre en place un dispositif propre à surveiller étroitement l’activité des établissements distributeurs de crédits (banques et établissements financiers) et à réglementer les opérations qu’ils sont amenés à passer avec leur clientèle. Les dépôts en banque n’échappent pas à ce contrôle, cette expertise de contrôle.
2) Aperçu sur les dépôts en Banque
Les banques ont pour but principal la distribution du crédit. Cependant leur rôle est loin d’être négligeable en ce qui concerne les opérations courant de trésorerie. Le bureau d’étude remet au banquier des fonds sous forme de dépôts, en contrepartie celle-ci met ses services à la disposition du client pour effectuer ses opérations de paiement.
3) Regard sur les différents Comptes bancaires et les Services bancaires
C’est sous l’angle de la fin de la Convention de crédit qu’un regard sur les Comptes bancaires et les Services bancaires présentent un intérêt. Si par exemple la Convention de crédit est à durée indéterminée, chaque partie peut y mettre fin par volonté unilatérale. Le banquier peut donc résilier sans préavis un crédit ouvert sans limitation de temps. Si la Convention de crédit est à durée déterminée le banquier doit jusqu’au terme fixe fournir à son client le crédit promis.
II - Le Crédit documentaire
1) Note introductive sur les Moyens de paiement en banque
 Le Crédit documentaire est lié à la forme des Ventes maritimes. C’est une création de la pratique commerciale et bancaire dont le fonctionnement a été précisé par la Chambre de Commerce Internationale (CCI) sous le Titre de « Règles et Usances uniformes relatives aux crédits documentaires » (Vienne 1933 révisée en 1951 et 1962).
Le Crédit documentaire est un instrument de règlement de prestations commerciales internationales : un Acheteur (« le donneur d’ordre » charge un banquier de verser le prix de  marchandises à son Vendeur (« le bénéficiaire ») contre remise de documents établissant l’exécution par ce vendeur de son obligation de livrer.
a) Lorsque le crédit est révocable, le banquier ne souscrit dans l’accréditif aucun engagement ferme à l’égard du vendeur. Il informe le bénéficiaire qu’un crédit est ouvert pour permettre le paiement des marchandises lorsque les documents seront remis ;
b) Lorsque le crédit est irrévocable, le bénéficiaire a un droit direct à l’encontre du banquier. C’est un engagement autonome qui résulte de l’accréditif et qui est indépendant du Contrat de vente et du Contrat de crédit liant la banque au donneur d’ordre.
c) Lorsque plusieurs banques concourent à l’opération, il faut préciser dans quelle mesure elles se trouvent obligées envers le bénéficiaire.

d)  Le banquier qui ouvre le crédit du bénéficiaire est généralement domicilié dans le même pays que l’acheteur. Sa Solvabilité n’est pas nécessairement connue du Vendeur. Celui-ci exige le plus souvent l’intervention d’une banque de son propre pays.  
e) Si cette banque se charge seulement de transmettre l’accréditif au Vendeur, elle ne se trouve pas engagée ;
f) Lorsque le crédit est irrévocable, la banque intermédiaire peut confirmer le crédit i.e. s’engager personnellement et directement envers le bénéficiaire dans les termes de l’accréditif.
2) Réalisation du Crédit documentaire
Les ventes internationales maritimes donnent lieu à la création de divers documents. Le Connaissement qui représente les marchandises embarquées, la Police d’assurance qui garantit contre les risques de perte ou d’avaries des marchandises, les documents douaniers etc.
Ces divers documents attestent de la bonne exécution du marché.
g) Ouverture du crédit documentaire, lors de la conclusion du Contrat de vente,  l’Acheteur et le Vendeur conviennent que le règlement du prix s’effectuera par Crédit documentaire. L’Acheteur prend l’engagement d’obtenir  l’intervention d’une banque qui paiera contre remise des documents prévus au Contrat.
h) En exécution de la promesse qu’il a faite au vendeur, l’Acheteur (donneur d’ordre) demande à sa banque d’ouvrir un Crédit documentaire au Vendeur.
i) Si le banquier consent à couvrir le crédit sollicité il le notifie immédiatement au Vendeur (bénéficiaire) en lui faisant parvenir un accréditif (ou une Lettre de crédit) précisant l’étendue de son engagement.
j) Dans les rapports entre le donneur d’ordre et la banque, le crédit accordé ne peut être révoqué quel que soient les événements qui affectent leurs relations.

k) Les droits du Vendeur (bénéficiaire) sont très différents selon que le crédit est « révocable » ou « irrévocable ».
l) En contrepartie des documents prévus par l’accréditif et après leur vérification le banquier paie le montant prévu au Contrat.
Si les documents sont incomplets ou si l’un deux comporte une irrégularité le banquier les rejettes et refuse l’exécution.
l) Lorsqu’il a payé, le banquier doit transmettre les documents au donneur d’ordre qui est tenu de le rembourser de ses avances.
Pour garantie de ce remboursement, le banquier peut exiger la constitution de sûretés tant qu’il ne s’est pas dessaisi des documents représentatifs des marchandises (connaissement, police d’assurance à ordre), le banquier bénéficie d’un véritable droit de gage sur ces marchandises.

III - Analyse de la Convention de crédit
1) Optimisation d’un Modèle de Financement d’un Projet Eco-énergétique
A coup sûr le financement des infrastructures éco-énergétiques est le nœud gordien du développement des sources d’Energies Nouvelles et Renouvelables (ENR). C’est pourquoi le bureau d’étude penche pour l’optimisation d’un Modèle de financement adapté au contexte africain afin de réduire la vulnérabilité des populations, augmenter la résilience des populations rurales. Nous proposons ici la valorisation du Crédit documentaire, pour permettre à un bureau d’étude expert de disposer des intrants nécessaires à la conception des bio-digesteurs surtout des brûleurs (brûleur butane – bruleur méthane) et de les fournir sur place en zone à très faible densité pseudo-isolée en isolée du Sénégal.  
Le Crédit documentaire présente l’intérêt de valoriser le caractère de Hub de la Zone principale Dakar / Thiès du Groupe WLD 2000 et à partir de Dakar, diffuser sur les quatre (04) zones secondaires du Groupe au niveau des 14 régions du territoire national.
Aussi, le Crédit documentaire fait de Dakar, la Zone principale du Groupe WLD 2000, l’éclat du Hub dont chaque région reflétera. Le dynamisme de cette politique de filière dont par exemple une Firme comme le Gazier, SEGOA – en est le Symbole, acte à donner du leur  à la politique  de promotion du biogaz.
2) Le mandat énergétique
Cette politique consiste à spécialiser les zones éco-géographiques et agro-pédologiques, les 04 zones secondaires du Groupe WLD 2000, dans les filières dans les quelles elle présente un avantage comparatif. Le solaire dans le Ferlo, la Casamance dans la biomasse, le solaire dans les agro-carburants, les Niayes dans l’éolienne etc.
Le Crédit documentaire peut aussi donner de la consistance aux mandats énergétiques. Les banques populaires marocaines approchées dans le cadre de cette Etude de la Banque populaire en général, sont le socle de promotion de ces politiques singulières de promotion du Développement Durable et de la Croissance Économique Soutenue (DD/CES).
3) Montages Financiers
Une politique de promotion de l’arboriculture intégré à l’agriculture, reposant sur le socle d’une Agriculture durable biologique, et mettant à contribution les Transferts de Technologies (MDP / NTPE). Tel est le nœud de Gordien d’un Montage financier visant la promotion du Développement Durable et de la Croissance Economique Soutenue (DD / CES). Des champs à la une, le produit sera valorisé, le biocarburant raffiné alimente les unités de production, les moteurs de groupes électrogènes ; et le biogaz éclairera les locaux à usages d’habitation. Tandis que l’eau sera fournie par les pompes solaires qui débiteront un cubage conséquent pour l’alimentation des foyers, des allées et sentiers ainsi que des institutions communautaires de santé (Programmes d’IDE en Santé communautaire du Groupe WLD 2000 dans les 04 zones secondaires), mosquées, églises etc. L’éolienne fera fonctionner l’éclairage des Salles de classe des écoles.
IV - Synthèse / Conclusions
En définitive, il est clair que les ENR sont incontournables pour le Développement des Pays Sous-développés. Toutefois, l’équation du financement demeure entière – et trouver la meilleure formule ne saurait exclure le Crédit documentaire. En effet, ce Schéma de crédit peut valablement couvrir les Transferts de technologies (MDP / NTPE) liés au Développement Durable (DD).
Dans le cadre de l’organisation de la Semaine d’Exposition en Intelligence Artisanale (SEIA) qui devait se tenir du 11 au 18 juillet 2011 à Dakar, une correspondance a été envoyée à Madame la Directrice nationale de la BCEAO pour une Communication sur «  l’Accès à l’information économique et financière : les 16 milliards des 81 mille comptes dormants au Sénégal ? » en vue de proposer des mécanismes de financement innovants à l’économie nationale soutenue.
Et l’Annuaire répertoriant les PME / PMI qui interviennent dans le Solaire configure un Schéma réel de valorisation des ENR.
Quelques Repères Stratégiques du Groupe WLD 2000
-         Offres (AAO) N° 02 / 09 / 2012 – PERACOD / ASER - de la GÍZ pour la fourniture, transport et pose des Groupes électrogènes dans 10 villages de la Région de Sédhiou / Sénégal.
-          Séminaire de Formation sur le Système ATA (Admission Temporaire / Temporary Admission), du lundi 07 au Jeudi 1O Février 2011dans le hall de l’institution consulaire, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Dakar (CCIAD). Le Séminaire de Formation sur le Système ATA ou Carnets ATA (Admission Temporaire / Temporary Admission) organisé par la CCIAD en partenariat avec les Douanes sénégalaises et la Fédération Mondiale des Chambres de Commerce (International Chamber of Commerce / ICC)-  N/Réf : 000192 CCIAD/DAE/2011/OKG/rdf du 03 Février 2011 à Dakar et 000219CCIAD/DAE/2011/OKG/rdf du 07 Février 2011 à Dakar.
-          Participation aux travaux de la Conférence de Haut Niveau PNUD – UNITAR sur : « L’Afrique et les partenaires émergents : les grands enjeux en matière de commerce et d’investissement »,13 – 14 Décembre 2011, Hôtel Le Méridien Président - Dakar, Sénégal N / Réf : BK / AS / 11 / 830 – December 5th 2011 / UNDP – UNITAR High – Level Conference on “Emerging Partners and Africa: Key Trade and Investment Issues” (Dakar, Senegal – 13 to 14 December 2011 ). 
-          Aller vers la mise en place d’un Conseil opérationnel d’Assistance et d’accompagnement pour le secteur privé national sous l’égide de la CCIAD en relation avec  la Caisse de Dépôts et de Consignation (CDC), l’Autorité de Régulation des Marches publiques (ARMP), la Direction de l’Appui au Secteur Privé et  la vulgarisation de l’Acte OHADA relatif au Droit des Coopératives depuis le 15 Décembre 2010
 In Contribution - Convocation à la réunion d’informations et d’échanges face aux difficultés rencontrées par les Opérateurs Economiques dans le cadre du transport de leurs marchandises par containers et de leurs formalités douanière au niveau du Système Gaïndé pour le Secteur Privé au Sénégal du 16 Août 2011à Dakar - N / Réf : Convocation 01074 CCIAD / DAE / 2011 / OKG / RDF du 10 Août 2011 à Dakar – Sénégal
-         Offre à la BCEAO Siège relative à l’Etude de la maîtrise d’ouvrage déléguée dans le cadre de la mise en place d’une Centrale des risques pour le secteur de la micro-finance de la zone UEMOA
-          Membre de la Session des Experts / Conférence sous-régionale sur l’Amélioration de la Performance industrielle et la Promotion de l’Emploi en Afrique de l’Ouest – Mise en œuvre du Volet Développement industriel durable du NEPAD (Initiative pour le renforcement des capacités productives en Afrique), du 03 au O5 novembre 2OO4 à Dakar / Sénégal, NEPAD – ONUDI – OIT / BIT – CEA – CEDEAO – UEMOA – BOAD – BID 
-          Participation- Atelier –Dialogue National sur le Fonds pour l’Environnement Mondial
Ministère de l’Environnement et de la Protection de la Nature – Sénégal
PNUE – Banque mondiale – PNUD – FEM du 27 au 29 septembre 2004 à Dakar. Mercredi 29 septembre 2004, Visite du Projet de protection et de gestion durable de la diversité biologique de la forêt de Ngazobil dans la Région de Thiès / Sénégal
-          Participation – Ateliers de Formation du Projet de Promotion des Exportations au Sénégal (PPES) sur « Les Négociations commerciales internationales », du 27 au 28 Octobre 2OO4 à Dakar / Sénégal – MINISTERE DU COMMERCE SENEGAL & USAID. Réf : Lettre d’invitation Mme Mariam DAFFE, Directrice du PPES
-          Participation – Atelier national de Restitution de l’Etude sur le potentiel des PPP  (Partenariats Public / Privé) au Sénégal – le 09 / 11/2004 à Dakar / Sénégal. APIX / PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE DU SENEGAL - USAID
-          Participation – Séminaire portes ouvertes sur le Système Commercial multilatéral (SCM) dont 09 Ateliers techniques développés, Dakar, du 21 au 24 Mai 2007. JITAB (Programme Intégré conjoint d’Assistance technique) – CCI – CNUCED - OMC / MINISTERE DU COMMERCE, DE LA CONSOMMMATION ET DE L’ARTISANAT à Dakar / SENEGAL.
-          Participation – Atelier national de restitution et de partage des résultats de l’Etude sur : « Les contraintes qui affectent l’environnement des affaires pour les micros, petites et moyennes entreprises au Sénégal ». Dakar, le 10 Juillet 2007. MINISTERE DES MINES ET DE L’INDUSTRIE Direction des PME, SENEGAL /  GTZ Coopération technique allemande
- Participation – Atelier de Présentation du Projet « Amélioration de l’offre dans le secteur des Energies renouvelables ». Le Mercredi 17 juin 2009 au Centre commercial Les Quatre C de Dakar. BOURSE NATIONALE DE SOUS TRAITANCE ET DE PARTENARIAT DU SENEGAL (BNSTP-S) / MINISTERE DES MINES, DE L’INDUSTRIE, DE LA TRANSFORMATION DES PRODUITS AGRICOLES ET DES PME SENEGAL. 
CORDIALEMENT.       

                       Le Coordinateur Collège des Experts
Transversalité et Redéploiement d’expertise et de compétences
Production et diffusion de connaissances dans la Recherche Développement / Recherche Action / Recherche appliquée
Développement / Multiculturalisme et Linguistique



Source : Proposition technique MCISI / ASPIT / Sénégal – Volet Information et Communication Durables / Cabinet CPEE / Groupe WLD 2000
Adresse:  CP 13522, BP 37171 Dakar / Sénégal
 Tel: + 221 77 539 47 35 / +221 76 679 70 23 / +221 70 780 83 28;
 R.C: SN   DKR – 2012 – A – 2191; NINEA: 004522589
Banque: BRS Sénégal – SN125  01001  018030040106  33
IMF: Pamecas Gd Yoff Dakar N°21532; U-IMEC Liberté 6 Dakar N° 2320
E-mail : groupe.worldleadership2000@gmail.com 
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Notre Savoir – faire, Notre Stratégie du Faire- Faire, Notre Approche Compétences (APC), Notre Approche Intégrée Droits de l’Homme (AIDH),  pour vous satisfaire.

Thursday, April 18, 2013

FEMME ET AGRICULTURE FAMILALE AFRICAINE


GROUPE   WORLDLEADERSHIP   2000

“Groupe WLD 2OOO”
Zone principale : Dakar / Thiès


Code Réf.: N°014 / BN / GWLD 2000 / 2013 
RAPPORT
INVITAION
FOIRE INTERNATIONALE DE L’AGRICULTURE ET DES RESSOURCES ANIMALES (FIARA) – 14ème EDITION DU 05 – 18 Mars 2013
Conférence sur le thème : « Les Femmes dans l’Agriculture Africaine : Nous sommes la Solution !» par
L’ONG International FAHAMU, Bureau Afrique de l’Ouest à Dakar
Jeudi, 14 Mars 2013 à 10heures, Salle Alioune Diop du CICES Dakar, Sénégal
FIARA 2013 DAKAR / CNCR / ASPRODEB

                                               REMERCIEMENTS
Le Groupe WLD 2000, notamment par son expert représentant Déthié DIOP et ses expertes représentantes Mesdames Ndèye Agnès DIOUF, Touty DIOUF et Dior SAMB, remercie le Bureau Afrique de l’Ouest à Dakar de l’ONG Panafricaine FAHAMU de  notre Invitation à la  Conférence sur le thème : « Les Femmes dans l’Agriculture Africaine : Nous sommes la Solution !»  du Jeudi, 14 Mars 2013 à 10heures, Salle Alioune Diop du CICES Dakar, Sénégal - FIARA 2013 DAKAR / CNCR / ASPRODEB
Particulière, notre félicitation adressée à Mr. Famara DIEDHIOU Chargé de Programme du Bureau Afrique de l’Ouest de l’ONG Panafricaine FAHAMU à Dakar de sa disponibilité et de son assistance pour une bonne participation des Expertes Représentantes du Groupe WLD 2000.         
SOMMAIRE
I-                INTRODUCTION
II-          DEROULEMENT DES TRAVAUX
III-     ANALYSE TRANSVERSALE DE l’Expert du Groupe WLD 2000
IV-     ANNEXES
Annexe I :       Rapport FAHAMU  de la Conférence
Annexe II :    Liste de Présence
Annexe III : Note de Présentation sur les Activités et Expériences du Groupe WLD 2000 relative à la  Conférence sur le thème : « Les Femmes dans l’Agriculture Africaine : Nous sommes la Solution !»

I-  INTRODUCTION

 

Le Bureau Afrique de l’Ouest à Dakar de l’ONG Panafricaine FAHAMU, dans le cadre de la 14e édition de la Foire Internationale de l’Agriculture et des Ressources Animales (FIARA 2013 DAKAR) a bien voulu nous inviter  à la  Conférence sur le thème : « Les Femmes dans l’Agriculture Africaine : Nous sommes la Solution !»  du Jeudi, 14 Mars 2013 à 10heures, Salle Alioune Diop du CICES Dakar, Sénégal - FIARA 2013 DAKAR / Conseil National de Concertation et de coopération des Ruraux CNCR / Association Sénégalaise pour le Développement à la Base ASPRODEB
Sempiternellement à travers notre Volet DYNAMIQUE ET MOBILISATION FEMININS, L’Expert du Cabinet CPEE / Groupe WLD 2000, Déthié DIOP, a accompagné nos Représentes Actrices et Productrices dans le cadre de l’agriculture et le maraîchage les dames Ndèye Agnès DIOUF, Touty DIOUF et Dior SAMB organisées dans le gie takkou  liggey.
Depuis 1996, le Groupe WLD 2000 est impliqué dans la Sphère du Partenariat Public Privé à toutes les réflexions nationales auprès des acteurs, des Groupements Féminins de développement de la Société civile et du Secteur de la Production / Transformation, décideurs et partenaires au développement autour des questions sur le Développement Durable et de Croissance Economique Soutenue (DD /CES) et la Lutte contre la Pauvreté Rurale.
II- DEROULEMENT DES TRAVAUX
Pour une meilleure continuité, nous allons directement se référer ci -dessous à l’Annexe I et II RAPPORT FAHAMU DE LA CONFERENCE SUR LE THEME
LES FEMMES DANS L’AGRICULTURE AFRICAINE : NOUS SOMMES LA SOLUTION !

Pour des raisons stratégiques, le Groupe WLD 2000 s’était inscrit dans le Groupe de travail N°4 « Parole de Femmes et Développement local » durant le  Forum d’échanges et découvertes au cœur des terroirs de Meckhé avec la plupart de la liste des présents (tes) à cette Conférence. Le Groupe WLD 2000 intègre toujours l’Approche Droits Humains dans sa Vision et tient toujours à prendre compte de la satisfaction des besoins spécifiques et stratégiques des femmes et des hommes dans ses résultats fixés (Cf. : Les 10 Principes Directeurs du Groupe WLD 2000).
Pour les Experts Participants du Groupe WLD 2000, le Forum d’échanges et découvertes au cœur des terroirs de Meckhé et la Célébration des 20 ans d’existence du CNCR étaient inscrits dans le Cadre de la 14e édition de la Foire Internationale de l’Agriculture et des Ressources Animales (FIARA 2013 DAKAR) qui a débuté avec le  4e  Forum International PLANETE  TERROIRS, Dakar – Sénégal 2013 ; Thème Principal : «  les Paysans et la Diversité des Terroirs d’Afrique face aux Défis Alimentaires », Du Mardi 05 au Jeudi 7 Mars 2013 - CNCR / ROPPA / Terroirs & Cultures International /UNESCO / FAO / Ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt France / AFD France / Ministère de l’Agriculture et de l’Equipement rural SENEGAL / Ambassade de France au Sénégal / FIARA 2013 DAKAR / AGROPOLIS INTERNATIONAL.
III-           ANALYSE TRANSVERSALE DE l’EXPERT DU Groupe WLD 2000
Titre : DROIT DE PROPRIETE INTELLECTUELLE / AGRICUTURE : L’Agriculture familiale africaine, une alternative optimale aux régimes de Propriété Intellectuelle.
SOMMAIRE
GENERALITES
RESUME EXECUTIF
PROBLEMATIQUE
INTRODUCTION
I-                   Les Dix (10) Conclusions d’une Etude de Recherche d’évidences
II-                Illustration de l’Interaction entre la Propriété Intellectuelle et le Développement Socio-économique
II -1 Le Secteur de l’Agro-alimentaire
II -2 L’Agro-industrie
III-              Le Cadre juridique de la Propriété Intellectuelle : Un Elément de Régulation de l’Agriculture Familiale Africaine
III – 1 Un Socle de la Propriété Intellectuelle  et de l’Innovation Technologique
III – 2 Le Creuset : L’Agriculture familiale
III – 3 le Terreau : L’Imagination fertile de la Femme Africaine
IV-              CONCLUSION
Généralités
Sujet au cœur des sujets abordés sous le prisme de l’agriculture dans le Développement Durable (DD) et son  enjeu dans le Développement général. La Femme est au cœur du développement, pour ne pas l’astreindre à être seulement au cœur de l’Agriculture africaine. En effet, si elle n’existait pas il eût fallu l’inventer. Les mots pour camper le rôle de la femme dans la Sphère sociale viennent difficilement à l’esprit de celui qui veut vraiment saisir l’α et l’Ω de la Mission sociale de la femme.
Résumé exécutif
Le Secteur primaire, i.e. l’Agriculture occupe une place privilégiée dans la structure des économies  africaines et 71% de la Population active. Mais le rôle prépondérant de la femme africaine dans l’Agriculture familiale est biaisé par le cadre juridique (exemple le Droit foncier) à l’image, des législations en vigueur qui ont tassé le marché en diminuant les ressources qui leur sont allouées et en provoquant une allocation exagérée de ressources à des secteurs du marché ou de la production au détriment plus rationnel (Agriculture familiale). Ainsi, il  y a « distorsions ». Ce qui est une preuve d’inefficacité du Régime de Copyright généralement mis en œuvre notamment dans les pays anglo-saxons et en France où l’Innovation technologique et le Droit qui la protège sont administrés par le Ministère de l’Agriculture.  
Problématique
Une Etude de Recherche d’Evidences commanditée par la Firme Nokia sur l’efficacité et sur l’efficience du système actuel de prélèvement des royalties du Droit d’auteur or il est possible de supprimer ce système tout en augmentant les revenus de toutes les parties prenantes (artistes, producteurs et les vendeurs d’accès et ou de supports mobiles tels clés USB, Smartphone) et de même une confusion entretenue par quelques lobby industriels et financiers dénient les Obtentions végétales de leur Brevetabilité en les insérant au domaine de la Propriété industrielle. Existe-t-elle toujours à ce domaine ? Si oui n’y a t – il pas là une faveur pour les industriels et partant pour une prédation des revenus de la femme agricultrice principale créatrice de richesse en Afrique ? Si l’on sait que le droit consacré à la Propriété Intellectuelle prend son origine dans le droit privé / public au fil du temps et de l’évolution du domaine. Ce droit s’est structuré en deux branches dont une couvre le domaine des Créations industrielles et celle Commercial. C’est le droit de Propriété industrielle. Alors que l’autre couvre le domaine de la Création littéraire et artistique ou Propriété Artistique. Ce droit est appelé Droit d’auteur d’où l’entorse à la valorisation des produits de terroirs relevant de l’Agriculture familiale rurale (Couscous de Payenne, Couscous de Koul, Couscous de Ndia etc.) et les Savoirs endogènes et Connaissances locales.  
Introduction
« L’étape de l’évolution de la protection juridique d’une invention ou innovation détermine la valeur de celle-ci ». Ainsi, si on confond le droit de Propriété Intellectuelle conféré à la Propriété intellectuelle française, il protège. Les tribunaux seront dans l’impossibilité pratique et théorique de déterminer de « justes dommages et intérêts » pour le titre violé or la femme dans l’agriculture africaine à beaucoup de titres à préserver, de Savoirs endogènes et de Connaissances locales à valoriser. C’est dire que la construction d’un système de Propriété intellectuelle mondiale que mène une juste lutte contre la contrefaçon mais qui veille aussi à la Sauvegarde du Domaine public pour un accès aux connaissances  et aux technologies aux fins de développement est essentiel pour faire de la femme : La Solution de l’Agriculture familiale africaine.
I-                    Les Dix (10) Conclusions d’une Etude de Recherche d’évidences
1.      Le revenu rural faible en général notamment celui de l’Agriculture familiale rurale, impose de faire de la Propriété Intellectuelle un facteur de production au même titre que le facteur culturel et le facteur commercial.
2.      La faible efficience du système de prélèvement de royalties du Droit d’auteur ne saurait être impactée sur ce revenu rural déjà faible.
3.      Une politique de rupture dans la gestion de la Propriété Intellectuelle doit être mise en œuvre ipso facto.
4.      Le sui generis doit être une modalité opérationnelle nouvelle de production d’un droit nouveau qui n’a rien à voir avec le Domaine industriel ou littéraire et artistique dans lequel l’Obtention végétale (Brevet d’Obtention Végétale - BOV ou Certificat d’Obtention Végétale - COV, le TIRPAA sur les Droits paysans et l’Homologation des Semences paysannes).
5.      La variation des combinaisons K/W qui atteint une situation asymptotique à partir de laquelle  la variation de K ou du W ne confère plus un nouveau gain de productivité doit ouvrir une perspective à l’obtention végétale.
6.      Le paramètre K/Savoir qui est l’innovation tel que attesté dans  la thèse de l’auteur Römer sur « Le Résidu de Solow » doit être un facteur porteur de nouveaux gains de productivité dans la fonction de production en favorisant le Transfert de technologie.
7.      Le nombre de Certificat d’Obtention  Végétale (COV) doit être un indicateur de valorisation du PIB.
8.      L’indication géographique doit être le corollaire à la valeur de l’obtention végétale et permettre au Conseil (Cabinet CPEE / Groupe WLD 2000) et au Transfert de Biotechnologie entre l’ITA et la Femme rurale d’être une réalité.
9.      L’Innovation a une haute exigence en investissement, en publicité et en campagne de promotion. C’est pourquoi le Cabinet Conseil CPEE du Groupe WLD 2000 doit être le relais incontournable pour le Schéma de Financement de la Propriété Intellectuelle et du Développement de l’Innovation du Groupe en cours de traitement imputé à l’Agence Sénégalaise pour la Propriété Industrielle et l’Innovation Technologique (ASPIT).
10.   La mise en œuvre d’un régime de Propriété Intellectuelle adapté au cadre de l’Agriculture familiale africaine doit être effective.
II-                Illustration de l’Interaction entre la Propriété intellectuelle et le Développement Socio-économique
Les deux secteurs de l’Agro-alimentaire et de l’Agro-industrie sont des secteurs d’avant-garde pour la promotion de Droit de la Propriété Intellectuelle dans l’agriculture familiale sur le plan local, national, sous régional, régional et international (Cf. : Travaux Expert Représentant du Groupe WLD 2000 à la Rencontre Internationale sur les Coopératives -RIC 2011- dans la Perspective de 2012 Année Internationale des Coopératives).
   II -1 Le Secteur de l’Agro-alimentaire
Au Sénégal, la préparation de vinaigre est souvent réalisée par simple dilution d’acide acétique. Cette pratique est très répandue dans le secteur industriel à travers une multitude d’ateliers artisanaux. Depuis 1999, un Décret présidentiel rend obligatoire l’application de la norme NS 03 – 040 qui fixe les qualités requises pour les produits commercialisés sous l’appellation « vinaigre ». Selon cette norme, un vinaigre ne peut être produit que par fermentation  acétique d’un milieu alcoolisé. Elle rend illégale la vente de vinaigre artificiel résultant d’une simple dilution d’acide acétique. L’équipe du partenariat R & D a développé un appareil et une technique de production de vinaigre par voie fermentaire. Le procédé élaboré est accessible aux agricultrices et peut se substituer à la pratique de la dilution par :
-          Le choix et l’adaptation de procédé ;
-          La sélection de souches acétiques africaines ;
-          Le choix et l’optimisation d’un milieu de fermentation ;
-          La mise au point d’un protocole de production d’une mère de qualité ;
-          Le choix d’un appareil de production.
II -2 Le Secteur de l’Agro-industrie
Le Brevet confère le droit d’interdire  à tout tiers en l’absence du consentement du propriétaire  du Brevet :
a)      La fabrication, l’offre, la mise dans le commerce, l’utilisation ou l’importation ou la détention aux fins précitées du produit objet du Brevet ;
b)      L’utilisation d’une preuve de l’objet du Brevet ou de l’offre de son utilisation ;
c)      L’offre, la mise dans le commerce ou l’utilisation ou bien l’importation ou la détention aux fins précitées du produit directement par le procédé objet du Brevet, sont le droit exclusif d’exploitation et la transmissibilité en partie en partie et / ou en totalité.
Ainsi, le titulaire du Brevet pouvant concéder des licences à des tiers, céder son Brevet ou l’apporter en Société et permettre le développement de GIE, de Coopératives et de Sociétés agricoles privées essentiellement féminines. C’est dire que par l’Agro-industrie et par l’Agro-alimentaire, l’Agriculture familiale africaine et la femme (Mme l’Agricultrice rurale, semi-urbaine et urbaine) au cœur et à l’horizon K sont une Alternative crédible aux régimes de Propriété intellectuelles existant et l’alternative ( à la femme) au régime existant.
La femme africaine est bien ainsi au cœur du Développement économique et social par la Propriété Intellectuelle.
III - Le Cadre juridique de la Propriété Intellectuelle : Un Elément de Régulation de l’Agriculture Familiale Africaine
Nos expertes représentantes du GIE TAKKOU LIGGEY est le reflet de cette intégration du Droit à l’activité agricole (rurale, semi-urbaine et urbaine). Ainsi, le micro-jardinage côtoie aisément l’arboriculture et les aménagements participatifs favorables à l’éclosion d’activités génératrices de revenu pour la femme de la Zone urbaine et / ou péri-urbaine de Dakar. Isolées ou pseudo-isolées, l’exploitation dont le GIE TAKKOU LIGGEY est le reflet d’abord d’un cadre d’expression de la Propriété Intellectuelle.  
III – 1 Un Socle de la Propriété Intellectuelle  et de l’Innovation Technologique
Par son exclusivité et sa transmissibilité, la Propriété Intellectuelle et l’Innovation Technologique par le Droit qui les protège est un socle d’une Agriculture familiale africaine durable.
III – 2 Le Creuset : L’Agriculture familiale
Une réglementation autorise un Droit de Propriété sur les semences des variétés protégées. Elle a été promue à l’échelle de la région par l’OAPI qui couvre 16 pays. La loi de l’OAPI permet aux organises de recherche et aux entreprises nationales et étrangères de détenir un droit sur la variété et ils peuvent interdire aux agriculteurs la reproduction des semences, des plantes de leur champ ou l’autoriser en échange du paiement d’une taxe (les royalties). La plupart des variétés « améliorées » de la recherche ou des entreprises privées viennent de variétés paysannes collectées chez l’agriculture. Le Catalogue Ouest – africain des espèces et variétés végétales est l’album de l’Agriculture familiale africaine. Il oblige à enregistrer toutes les variétés dans un Registre Commun.
III – 3 le Terreau : L’Imagination fertile de la Femme Africaine
Le cercle de la Femme africaine lion d’être restreinte reflète l’onde porteuse de cercles concentriques qui lui permettent de mettre le petit plat dans les friands. Surtout quand les vielles marmites savent plus que jamais faire de bonnes sauces.  
IV – CONCLUSION
Non plus à 50% mais à 80%, la femme apparait comme la solution dans une Agriculture africaine en devenir.

                   IV- ANNEXES
Annexe I :       Rapport FAHAMU  de la Conférence
FAHAMU, Bureau Afrique de l’Ouest, : 9, Cité Sonatel 2 ; BP: 13083 Dakar, Grand-Yoff ; Sénégal
Site web: www.fahamu.org; Tél. : +221 33 867 50 65, Email: infosenegal@fahamu.org ou famara@fahamu.org


CAMPAGNE FEMININE PAN AFRICAINE

NOUS SOMMES LA SOLUTION CELEBRONS L’AGRICULTURE FAMILIALE AFRICAINE


RAPPORT DE LA CONFERENCE SUR LE THEME
LES FEMMES DANS L’AGRICULTURE AFRICAINE : NOUS SOMMES LA SOLUTION

Mars 2013
Contexte
Lancée en 2011, la campagne Nous sommes la Solution/Célébrons l’agriculture familiale africaine est portée par des femmes rurales leaders et leurs associations au Burkina Faso, au Ghana, en Guinée au Mali et au Sénégal, avec l’ambition de couvrir l’Afrique.

La campagne NOUS SOMMES LA SOLUTION a pour objectifs de:
-          Promouvoir les bonnes pratiques et savoirs agricoles qui sont connus et transmis pendant des générations en Afrique et qui ont permis aux femmes rurales d’assurer la souveraineté alimentaire dans leurs communautés  et préserver la souveraineté alimentaire sur le continent
-          Influencer les décideurs et promouvoir une meilleure gouvernance dans le développement agricole et
-          Valoriser la production de l’agriculture familiale

A l’occasion de la FIARA[1] 2013, les associations membres de la campagne ont organisé une conférence ce 14 Mars 2013 au CICES. La conférence est intitulée les femmes dans l’agriculture africaine : nous sommes la solution. L’objet de la conférence était d’informer et débattre/échanger avec les producteurs, les experts, organisations de producteurs, techniciens de divers horizons et journalistes sur certaines thématiques : la semence, l’agricultrice africaine, la terre agricole et l’agro écologie pour la souveraineté alimentaire.
Sous la modération de Mme Awa Fall Diop[2], quatre communications ont été présentées par quatre femmes rurales leaders du Mali, de la Guinée, du Burkina Faso et enfin du Sénégal en présence de M Souleymane Bassoum[3], expert en Agro Ecologie.
Plus de 100 participants (Cf. feuille de présence) ont pris part à la conférence.
Pour cadrer le contexte de la conférence, M. Famara Diédhiou, chargé de Programme à Fahamu, a présenté l’historique et les objectifs de la campagne. Ensuite, les communications sont présentées en deux blocs de deux, laissant entre elles des plages de débats, contributions, questions et commentaires. Enfin, l’expert a fait une synthèse et un appelle pour une visibilité et une expansion de la campagne au niveau national.
Contenu des Communications
Enjeux et Processus de la campagne nous sommes la solution :
L’échec des nouvelles politiques agricoles adoptées dans les années 80 n’a pas entraîné des ruptures stratégiques. Les pays africains font face à de nouvelles offres de politiques agricoles, mais elles s’inscrivent dans les mêmes logiques, pour des conséquences identiques : désintégration des systèmes de production, de la biodiversité, installation d’une dépendance des cultivateurs sur les multinationales de semences, etc.  Entre autres acteurs de ces politiques on a aujourd’hui AGRA, Monsanto, etc.
Entre 2006 et 2009, les plateformes d'agriculteurs Africains (ROPPA, PROPAC, COPAGEN, …) se sont concertées en développant des stratégies pour résister à ces politiques et ont proposé des mécanismes alternatifs pour promouvoir la souveraineté alimentaire.
La campagne "Nous Sommes La Solution, Célébrons l'Agriculture familiale africaine" est née de cette mobilisation. Elle fait partie de l’initiative africaine Alliance pour la Souveraineté Alimentaire en Afrique (APSA).
Les associations de femmes africaines mènent une campagne autonome mais intégrée à la campagne globale, dont elle épouse les objectifs.
La campagne féminine est supportée par l’ONG Pan Africaine Fahamu (www.fahamu.org)
 La première communication est intitulée Rôle des femmes dans la production agricole des exploitations familiales et présentée par Mme Yah Diakité, de l’Association Malienne pour la Sécurité et la Souveraineté Alimentaire (AMASSA), Mali.
 Après avoir brièvement présenté AMASSA et ses activités de facilitation de la production et du commerce des céréales ; son exposé a dans un premier temps rappelé la structure de l’agriculture africaine en mettant en exergue la contribution de chaque membre de l’exploitation agricole familiale. Dans un deuxième temps, le fardeau porté par la femme rural a été détaillé en opposition à son faible accès aux ressources et intrants de productions. Enfin, elle a lancé un appel pour des changements radicaux dans la répartition des ressources  et l’accès équitable à celles-ci en interpellant les décideurs en particulier.
La deuxième communication est l’œuvre de Mme Fanta Condé, de l’Association Guinéenne pour la l’allègement des charges Féminines (AGACFEM).
 Tout d’abord, elle a renforcé les propos de sa sœur du Mali en ce qui concerne l’apport considérable de la femme dans l’exploitation agricole familiale en donnant le cas concret de la guinée forestière. Ensuite, elle a exposé l’objet principal de sa communication : La souveraineté alimentaire par les femmes grâce à l’agriculture traditionnelle
Appartenant à une zone où recevant 9/12mois de pluie, Mme Condé a émerveillé l’assistance par l’exposé des techniques culturales qui ont préservées la souveraineté alimentaire depuis toujours en guinée forestière. Les semences paysannes, l’usage de compostière et la rotation culturale, sans intrants de synthèse (engrais et pesticides) permettent à toutes les familles de subvenir à leurs besoins alimentaires. Elle a insisté sur la jachère, l’épandage du compost et/ou du fumier et la rotation culturale pour dire que ce sont des pratiques qui maintiennent la terre en vie, maintiennent la santé des aliments et celle de la Femme. Pour finir elle appelle ses sœurs guinéenne et africaine à joindre la campagne NOUS SOMMES LA SOLUTION car la cause est noble, facile et durable.
Mme Rahamata Laetitia Koudougou de la Fédération Nationale des Organisations Paysannes (FENOP), Burkina Faso, a présenté la troisième communication. Elle a porté sur l’accaparement des terres et la souveraineté alimentaire.
Pays majoritairement aride, Rahamata a d’abord présenté le RESACIFROAT et la FENOP, les deux organisations qui portent la campagne dans son pays.
Ensuite, elle a partagé le concept d’accaparement des terres ainsi que les principaux acteurs en jeu. Deux cas concrets ont capté l’attention de l’assistance. D’une part, l’accaparement des terres par les sociétés minières dans la zone aride du pays. Ici, les producteurs sont déplacés avec des impenses qui ne comblent jamais la fracture sociale créée. D’autre part, l’aménagement de terres très propices à l’agriculture par l’Etat. Les exploitants traditionnels bénéficient de terres marginales, et les meilleures terres sont cédées à des « investisseurs agricoles ». Rahamata a posé à l’assistance la question suivante « si ces soit disant investisseurs agricoles sont aussi puissants qu’ils le prétendent, pourquoi ne vont-ils pas dans les zones arides et créer les conditions de rentabilité ? »
Mariama Sonko, de l’Association des Jeunes Agriculteurs de la Casamance (AJAC/Lukaal) a présenté la 4ème communication. Elle est intitulée Les femmes dans la conservation des semences en pays Diola
Mariama a partagé une expérience traditionnelle dans la sélection et l’usage des semences au Sud du Sénégal. Quelles sont les graines qu’il faut prélever à partir des casiers rizicoles pour en faire une semence ? Quelles sont les semences adaptées aux zones salinisées ? Quelles sont les semences adaptées aux terres pauvres ? Elle a aussi fait part du mode sécurisation des cultures et de réduction des risques en milieu Diola : l’ensemble de l’exploitation familiale est constituée de plusieurs casiers souvent très distants les uns des autres. Cette stratégie serait appliquée pour qu’au cas où une calamité survient sur une zone, que les autres soient épargnées pour assurer le minimum. Elle a expliqué le lien sacré qui existe entre le paysan diola et la semence de riz et surtout que le grenier est un synonyme de richesse dont la disparition pourrait faire perdre sa dignité au propriétaire.
Les 4 exposés en français, traduits en wolof par la modératrice ont permis un débat très riche dans la salle. Plus de 25 intervenants, majoritairement en guise de contribution :
  • Le problème foncier évoqué par Rahamata est le même que nous vivons actuellement dans la zone des Niayes avec la société minière MDL et les ICS ;
  • Les bonnes terres sont souvent destinées aux hommes
  • Les femmes ne connaissent pas assez les lois foncières
  • Les thématiques et les questions soulevées doivent être diffusées à la base notamment au Nord du Sénégal près de la vallée
  • Il y a le réseau des femmes semencières qui fait le même travail, il serait bien d’unir les forces
  • La Fédération Nationale pour l’Agriculture Biologique (FENAB) est heureuse d’apprendre une initiative pareille et est prête a nouée une alliance
  • La SOLUTION doit arrivée chez nous, il ne faut pas se limiter aux deux organisations
  • Ce que la campagne défend ne doit pas se limiter en campagne, c’est également un problème des femmes et populations urbaines
  • Nous aimerions connaître la variété de patate douce qui fait trois mois en Guinée
  • Est-ce que AMASSA peut nous partager leur expérience de commerce des produits céréaliers car l’accès aux marchés est également une préoccupation ?
  • Etc.
Après une synthèse des réponses, des contributions de la modératrice, la parole a été remise au Point Focal de la Campagne au Sénégal. Parlant au nom de ses homologues des autres pays (Mali, Guinée, Burkina Faso et Ghana), M Bassoum a d’abord salué les efforts des membres de la campagne et surtout de l’initiative. Selon Bassoum l’humanité ou l’agriculture industrielle est aujourd’hui consciente de son erreur. Elle veut recommencer en prenant la voie de l’agro écologie. C’est l’occasion pour les praticiens et défenseurs de l’agro écologie de prendre le devant, car ils sont déjà sur la voie.
Ensuite, il a appelé l’assistance à donner à l’agriculture de la valeur :
  • L’agriculture s’apprend, ça ne s’hérite pas
  • Considérer l’agriculteur comme tout autre professionnel qui vit de son métier
Aussi, il a demandé d’apporter l’argumentaire à un niveau plus haut notamment en ce qui concerne la terre. Il ne faut pas seulement demander d’arrêter les spéculations, mais il faut plutôt dénigrer les facilités (exonération de taxe sur l’eau, la terre, les intrants….) qui sont offerts à ces « investisseurs agricoles ».
Enfin, Le point Focal a demandé à toutes et tous ceux qui veulent joindre la campagne de s’approcher de Mariama Sonko (AJAC) pour la zone Sud et/ou de Fatou Binetou Diop (UGPM) pour la zone centre et nord
C’est sur ces mots que la séance fut levée donnant la place aux interviews pour les médias en présence.
Annexe II :    Liste de Présence
FIARA 2013, salle Alioune Diop, le 14 Mars
PARTICIPANTS A LA CONFERENCE : LES FEMMES DANS L’AGRICULTURE AFRICAINE : NOUS SOMMES LA SOLUTION !
Prénom et Nom
Organisation
01
Mariama Diouf
GIE Djab Thialel
02
Massamba Dieng
HWA Sénégal
03
Fatemata Condé
Agricole
04
Kenya Keïta
Agriculture
05
Marie Oularé
Agricole
06
Aïssatou Diaby
New Field
07
Tabara Ndiaye
New Field
08
Souleymane Bassoum
Point Focal (WAS)
09
Gora Ndiaye
Jardins d’Afrique
10
Dethié Diop
Groupe WLD 2000
11
Ndeye Agnes Diouf
Groupe WLD 2000
12
Touty Diouf
Groupe WLD 2000
13
Dior Samb
Groupe WLD 2000
14
Josette Loukianoff
Jardins d’Afrique
15
Djibi Ka
DIRFEL
16
Awa Thiandoum
REFABEC
17
Fatim Sow Fall
REFABEC
18
Maguette Diop
UGPN
19
Maguette Ndiaye
UGPN
20
Aby Tall
PAFA/Niébé
21
Marthe Pires
DIRFEL
22
Mamadou Diatta
APAD
23
Mamadou Cissé

24
Aliou Sow
Radio Communautaire
25
Maïmouna Sene
URAC/Sénégal
26
Aïssatou Diop
ADAK
27
Satou Faye
FONGs
28
Fatou Samba Ndiaye
NAWFA/Gambie
29
Mamadou Sarr
Jeeri FM
30
John Saba Kanté
AFTET
31
Djibril M Bassène
AFANCOS
32
Mariama Diémé
APANEWS
33
Maïùouna Ka
UNCES
34
Mariama Ly
APANEWS
35
Sokhna Nafissatou Manga
REFABEC
36
Oulimatou Ly
Pr/CRCR St Louis
37
Marème Sy
DIRFEL
38
Aissatou Sy
UJAR
39
Dieynaba Sy
UJAR
40
Marie Thérèse Niane
FADEF
41
Benoit Lecomte
GRAD-S
42
Aliou B Badji
Société SENO
43
Molo Ba
Société SENO
44
Bintou Sané
GIE DIMIIIE
45
Mariama Diédhiou
Entente Diouloulou
46
Lawel Ka
Collège des jeunes du CNCR ; Eleveur
47
Habibou Coulibaly
AFIA Agriculture
48
Diahate Gueye
Bollo Siggil Djiguèn
49
El Hadj Seck
EBDS
50
Alassane Souaré
CCIAZ
51
Pierre Samba Tine
CCMH
52
Madieng Seck
SYFIA
53
Mamadou lamine Camara
A
54
Malick Sow
FAPAL
55
Ibrahima Seck
ASPAB/FENAB
56
Wamar Touré
FIARA
57
Landing Diémé
FEPROBA
58
Codou Fall
UGPM
59
Kara Thioune
WADR
60
Aida Niang
UGPM
61
Daouda Gaye
Trade FM
62
Fatou Bodian
CAC
63
Meissa Ndiaye
REFABEC
64
Serigne Mor Fall
PAFA
65
Cheikh Tidiane Diallo

66
Lamine Kane
Direction des Parcs
67
Ngoné Camara
FIARA
68
Ndeye Seye
FONGS
69
Ndeye Gueye
FONGS
70
Ndeye Sarr
FONGS
71
Dida Dicko
FNGPF
72
Déguène Mbodj
UNCAS
73
Ramata Niasse
CCPA
74
Corka Diaw
FONGS
75
Fatimata Sy
USE
76
Alioune Faye
SPI
77
Mariama Diémé
FONGS
78
Mohamet Ouattara
Afrik Welt
79
Famara Diédhiou
Fahamu
80
Fatou Bousso
Fahamu
81
Tidiane Kassé
Fahamu
82
Yah Diakité
AMASSA/ Mali
83
Aïda Niang
UGPM;
84
Codou Fall
UGPM
85
Fanta Sagna Sané
 CORD/B/AJAC;
86
Rahamata LKoudougou
FENOP; Burkina Faso
87
Mariama Sonko
AJAC Lukaal
88
Fatou Binetou Diop
UGPM
89
Mariama Tendeng
USOFORAL;
90
Fanta Condé
AGACFEM; Guinée
91
Ndeye Nogaye Diagne
Ngaye FM
92
Liliane Gisèle Fall
Sud Fm Ziguinchor;
93
Awa Fall-Diop
Consultante indépendante

Annexe III : Note de Présentation sur les Activités et Expériences du Groupe WLD 2000 relative à la  Conférence sur le thème : « Les Femmes dans l’Agriculture Africaine : Nous sommes la Solution !»
Présent dans la Société civile de l’Education et du développement, le Groupe WLD 2000 a participe dans les travaux suivants :
Þ Expert Consultant et Secrétaire Général de l’Association écologiste BIOFORCE – VB à la 3ème Edition  de  la  Foire  Sous - régionale  des  Semences Paysannes de l’Association  sénégalaise  des  producteurs de  semences  paysannes (ASPSP)
Thème : « la conservation  des  semences  et des  récoltes » 
LIEU : village  de Djimini, Département de Vélingara, Région de Kolda / SENEGAL
Période : Du Samedi  19 au mercredi 23 Novembre 2011
Expert Membre du Groupe de travail «  Femme et Foncier : Accès des femmes à la terre » / 3ème Edition  de  la  Foire  Sous - régionale  des  Semences Paysannes  de Djimini, édition 2011.
BIOFORCE-Volontaires pour la Biodiversité (BIOFORCE-VB) est une association à but non lucratif de conservation de la biodiversité et des sols reconnue officiellement, sous le récépissé n°09593 du 21MAI 1998 MINT/DAGAT/DEL/AS.
BIOFORCE-VB s’est engagée depuis sa création en 1996 contre les OGM l’érosion de la biodiversité, le changement climatique, la déforestation et la désertification.
SIEGE SOCIAL : Cité SICA –MBAO  VILLA N°56  DAKAR - PERMANENCE : MAISON DES ARTISANS, SICAP LIBERTE 5 FACE VILLA N° 5328 N ; Tel : 221 77 207 77 86 ;
Association Sénégalaise des Producteurs de Semence Paysannes (ASPSP)
BP : 147 - Vélingara, Sénégal   /   BP : 3288/A – Thiès, Sénégal
Tél. -  Thiès : (00221) 951 53 36 – (00221) 33 951 00 46
Þ Expert / SEIA / APRAO, Chargé des Relations avec les Institutions et les Partenaires. L’Association pour la Promotion des Artisans et Ouvriers (APRAO) organise en partenariat avec Emergence radio, la radio de l’emploi et de la formation, la 1ère Semaine d’Exposition en Intelligence Artisanale – SEIA, du 11 au 17 juillet  2011 au Centre Socioculturel de Sacré-Cœur Mermoz à DakarLe thème principal de cette SEIA est: «  Artisanat et Développement durable » en sigle A2D.
Les objectifs de cette Semaine : Faire connaître des produits innovants fabriqués par nos artisans, rendre visible leur génie créateur, susciter des vocations en faisant découvrir des  formations et des tiers artisanaux,  apporter soutien et conseils aux entreprises artisanales en vue de contribuer au veloppement économique de l’artisanat. (Références : TDR et autres documents de la SEIA) ;
Þ Membre du Groupe de travail Recherche / Secteur privé / Vulgarisation lors de la 4e Conférence internationale des Produits naturels issus des Plantes du 25 au 27 Août 2004 à Dakar / Sénégal, AES / ASNAPP /   USAID / NEPAD / PNUE- FEM Biosécurité ;
Þ Participation – Quatrième Conférence internationale des produits naturels africains issus des plantes - Association Education Santé (AES) / Sénégal et ASNAPP (Agri business in Sustentateur Naturel Africain Plants Products) du 25 au 27 Août 2004 à Dakar / Sénégal. NB : ABSP (Agricultural Biotechnology Support Projet- Michigan State University) est un projet financé par l’USAID pour soutenir la recherche agricole en matière de biotechnologie dans la Région. L’USAID en partenariat avec l’Institute of International Agriculture.
Þ Expert Participant – Ateliers de Formation du Projet de Promotion des Exportations au Sénégal (PPES) sur: « Les Négociations commerciales internationales ».
Cérémonie officielle présidée par Mme Mariam DAFFE Directrice du PPES / Sénégal, Mr. Cheikh Seck Directeur du Commerce extérieur / Ministère du Commerce et Mme Abibatou DIABY Directrice du BSDA (Bureau Sénégalais du Droit d’Auteur). Les 27 et 28 Octobre 2004 à l’hôtel Sofitel Téranga de Dakar, 9H à 16 H – MINISTERE DU COMMERCE SENEGAL & USAID;
Þ Participation- Atelier –Dialogue National sur le Fonds pour l’Environnement Mondial; Ministère de l’Environnement et de la Protection de la Nature – Sénégal; PNUE – Banque Mondiale – PNUD – FEM du 27 au 29 septembre 2004 à Dakar. Mercredi 29 septembre 2004, Visite du Projet de protection et de gestion durable de la diversité biologique de la forêt de Ngazobil dans la Région de Thiès / Sénégal ;
Þ  Membre du Groupe des Experts – Conférence Ministérielle sur les mécanismes de financements pour l’Initiative Environnementale du NEPAD. « Domaine d’intervention N°4: la conservation et l’utilisation durable des ressources marines et côtières. » du 12 au 14 Octobre 2004 à Dakar. Programme GIRMAC (Gestion intégrée des ressources marines et côtières) / MEPN-NEPAD-PGIES (projet de Gestion intégrée des Ecosystèmes / MEPN-PNUE-FEM);
Þ Membre du Comité nationale d’organisation de la JMA (Journée Mondiale de l’Alimentation). Depuis une dizaine d’années, en tant qu’Expert, nous avons ont eu à organiser les manifestations commémoratives de la journée avec des thèmes différents liés aux Savoirs endogènes mais tous corrélés à la Sécurité alimentaire. Il s’agit particulière des régions suivantes:
 Thiès à Mékhé en 2003: «bâtir ensemble une alliance internationale contre la faim». En i lest important de souligner que durant ce JMA 2003, le Groupe WLD 2000 a beaucoup échangé sur le Projet de la Nouvelle Capitale Sénégalaise à Lompoul. Et, le Groupe WLD 2000, dans le cadre de son Droit à la Participation et à l’Implication garanti par les Instruments juridiques internationaux, a beaucoup Communiqué de ces résultats d’enquetes de terrain (JMA 2003 à Meckhé) à la Rencontre avec le Ministre de l’Urbanisme et de l’Aménagement du Territoire (Mr. Seydou Sy SALL) et le Secteur privé pour l’Information et la Présentation sur les Projets de Meckhé (Thiès) – le Vendredi 10 Octobre 2003 à 10heures à la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Dakar -CCIAD (Cf.: Service Documentation et Archivage de la CCIAD);
 Fatick à Fimela en  2004: «la biodiversité au service de la sécurité alimentaire»;
 Diourbel dans la Commune en 2005: «Agriculture et Dialogue des cultures» où nous avons communiqué sur le XOY et le BAWUNAAN et Organisation d’Exposition des instruments aratoires agricoles traditionnels;
 Saint-Louis à Ross Béthio en 2006: «Investir dans l’agriculture pour la sécurité alimentaire»;
 Tambacounda à Missirah en 2007: «Le Droit à l’alimentation»;
 Kolda à Anambé en 2008: «Sécurité Alimentaire Mondiale: « les défis du changement climatique et des bioénergies»;
● Kaolack à Taïba Niassène Département de Nioro du Rip en 2009: «Atteindre la sécurité alimentaire en temps de crise» ;
Þ Membre du Groupe de travail n°1 « Gestion des Inondations » et du Groupe de travail n°1 «  Gestion Volet logistique » / Atelier d’actualisation du Plan de Contingence National, du 09 au 11 juin 2009 à Dakar / Sénégal – MINISTERE DE L’INTERIEUR ET DES COLLECTIVITES LOCALES ET DE LA DECENTRALISATION / Direction de la Protection Civile / Projet d’Appui au Programme National de Prévention, de réduction des Risques majeurs et de la gestion des Catastrophes naturelles au Sénégal dans le contexte de réduction de la pauvreté  (PAPNGCN) / PNUD ;
Þ Expert Membre du Groupe de travail francophone / BIOTECHNOLOGIE &BIOSECURITE, Atelier de renforcement de capacités en biotechnologie et biosécurité pour les régulateurs et les formateurs, du 08 au 10 Juillet 2009 à Dakar / Sénégal,  UCAD / ED-SEV, USDA, MICHIGAN STATE UNIVERSITY, NEPAD ;
Þ Expert de la MAISON DES ARTISANS (COB / APRAO) - ATELIER DE              SENSIBILISATION DES ACTEURS NON ETATIQUES (ANE) DE LA CEDEAO SUR LE    PROGRAMME COMMUNAUTAIRE DE DEVELOPPEMENT (PCD)
CONTRIBUTION DES  ACTEURS NON ETATIQUES (ANE)  AU DEVELOPPEMENT DE L’ESPACE  CEDEAO Recensement régional de la CEDEAO - « Ensemble pour une CEDEAO des Peuples ! »
Dakar, Sénégal, le Vendredi 10 Décembre 2010 ;
Þ Expert de la MAISON DES ARTISANS (COB / APRAO)- ATELIER DE REFLEXION GROUPE THEMATHIQUE SUR  « COMMERCE, INTEGRATION REGIONALE ET PROTECTION DES CONSOMMATEURS » / PLATE FORME DES ACTEURS NON ETATIQUES (ANE)- Thème : « Promotion de la Protection des consommateurs à travers les stratégies de commerce et d’intégration régionale » - Dakar, Sénégal, du 13 au 14 Décembre 2010
Conseil National des Associations de Consommateurs (CONAC)
Réalisé avec l’appui du Projet de Renforcement des Capacités de Bonne Gouvernance (PRECAPBG) / PNUD
PLATE FORME DES ACTEURS NON ETATIQUES pour le suivi de l’Accord de Cotonou au Sénégal ;
Þ Chercheur, Expert de la Société civile, participant à la Conférence de Haut Niveau PNUD – UNITAR sur :« L’Afrique et les partenaires émergents : les grands enjeux en matière de commerce et d’investissement »,13 – 14 Décembre 2011, Hôtel Le Méridien Président - Dakar, Sénégal - N / Réf : BK / AS / 11 / 830 – December 5th 2011 / UNDP – UNITAR High – Level Conference on “Emerging Partners and Africa: Key Trade and Investment Issues” (Dakar, Senegal – 13 to 14 December 2011 ) ;
Þ Chercheur indépendant Participant – FORUM D’AFFAIRES DU RIZ SENEGALAIS, les 23 et 24 Janvier 2012 à la Place du Souvenir de Dakar / Sénégal – USAID ;
Þ Chercheur / Société civile / Copagen Sénégal (Coalition pour la Protection du Patrimoine Génétique Africain)  Participant – Forum National sur les Enjeux du Développement Agricole et Rural et la Gestion Foncière, les 13 et 14 Février 2012 à l’Hôtel Niambour de Dakar – CRDI / IPAR / CONGAD – Réf : Invitation 021 / CNCR / CAT / P du O3 Février 2012 à Dakar ;
Þ Chercheur / Société civile / Copagen Sénégal (Coalition pour la Protection du Patrimoine Génétique Africain)  Participant – 1er Atelier de Formation des Acteurs de la Société civile sur le BIOSAFETY CLEARING HOUSE (BCH) et le Centre d’Echange pour la Prévention des Risques Biotechnologiques (CEPRB). Membre du Groupe de travail sur « La Pérennité des Systèmes Nationaux du BCH ». Les 14, 15 et 16 Février 2012 au Centre d’Enseignement à Distance de Dakar / Sénégal - PNUD – FEM / DPN – MEPN SENEGAL;
Þ Participation Zone N°1 Saint – Louis / Groupe WLD 2000 au Séminaire sous régional sur « les Savoirs Endogènes et la Propriété Intellectuelle » du 18 au 20 Décembre 2012 à Saint - Louis / Sénégal - ISESCO / OCI en partenariat avec Commission nationale sénégalaise pour l’UNESCO / ISESCO;
Þ CONSULTATION INTERNATIONALE - SECRETARIAT DU TRAITE INTERNATIONAL SUR LES RESSOOURCES GENETIQUES DES PLANTES (TIRPAA) AUPRES DE LA FAO - THEME DE CONTRIBUTION DU Groupe WLD 2000 :  « Traité international et semences paysannes : la réponse collective des organisations paysannes »  - Mars 2013

Fait à Dakar, Sénégal, le 03 Avril 2013

Le Responsable
Dynamique et Mobilisation Féminines ;
 Agriculture de subsistance urbaine et / ou rurale ;
 Auto- développement.

Source : Volet Information et Communication Durables / Cabinet CPEE / Groupe WLD 2000 

Adresse  Zone Principale : CP 13522,  BP 37171, Dakar / Sénégal
 Tel: + 221 77 597 28 63 /+221 77 539 47 35 /+ 221 77 320 23 29 / +221 76 679 70 23 / +221 70 780 83 28;
 R.C: SN   DKR – 2012 – A – 2191; NINEA: 004522589
Banque: BRS Sénégal – SN125  01001  018030040106  33
IMF: Pamecas Gd Yoff Dakar N°21532; U-IMEC Liberté 6 Dakar N° 2320
E-mail : groupe.worldleadership2000@gmail.com 
Notre Savoir – faire, Notre Stratégie du Faire- Faire, Notre Approche Compétences (APC), Notre Approche Intégrée Droits de l’Homme (AIDH),  pour vous satisfaire. 



[1] FIARA : Foire Internationale de l’Agriculture et des Ressources Animales
[2] Awa est consultante indépendante expert en genre et facilitation
[3] S. Bassoum est membre fondateur d’AGRECOL Afrique, spécialiste en agriculture Biologique et développement rural