Wednesday, May 25, 2005

DURALOGIQUEMENT, Gallilée disait...

« On ne peut rien enseigner à autrui. On ne peut que l’aider à le découvrir lui-même ». De sa mort à aujourd’hui, de 1642 à 2005, il y a 363 ans quand Gallilée disait ses mots. N’oublions pas aussi qu’en 1973, Robert S.Mc Namara,Président de la Banque mondiale de l’époque, avait annoncé « une intensification du combat en exigeant l’éradication de la pauvreté extrême avant la fin du 20e siécle… ».
Millénairement, avec la crise de l’enseignement et le Worl Education Market en Afrique, ces sages recommandations restent toujours d’actualité.
Dans la méthode CLAD, de la CI à la CP, les capacités psychomotrices de l’enfant captaient vite le texte du dialogue. Les trois parties du baobab (le feuillage, le tronc et les racines) étaient enseignées aux figurines ensuite visitées sur le terrain. La pédogogie était suivie de la didactique. Mnémoniquement, cent ans après, l’image et le texte y sont. Ce qui poussait la personne à aimer et protéger son environnnement.
Dans mes recherches opérationnelles en Sciences de l’éducation, j’ai remarqué parfois une rupture méthodologique entre les enseignants-chercheurs (en milieu francophone). Pédagogues et didacticiens, Planificateurs et Réformistes, enseignants chercheurs du supérieur et du secondaire, du prescolaire et du primaire etc…. Entre le présenciel et le virtuel, quelle différence mnémonique pour l’apprenant ? Quelles est la différence écritorielle entre curricula_milenara et curriculamilenara ensuite worldleadership_2000 et worldleadership2000 ? J’ai été avec de grands chercheurs internationaux mais la méthodologie que posent ces deux questions leur est totalement nouvelle. Et pourtant, c’est du domaine du Développement Durable. De ce fait, je laisse une approche ouverte à ces deux questions.
De l’époque galilléenne juste vers les années90, il fallait étudier ensuite travailler. Mais dans ce nouveau millénaire, il faut d’abord travailler ensuite étudier de manière professionnelle ou en formation continue.
En conclusion, il y a des jeunes qui se sacrifient en travaillent pour la marche de l’économie pendant que l’autre partie joue. C’est ce que nous avons fait en étant d’anciens Jeunes Leaders Africains. Maintenant, nous essayons de partager notre expérience. N’oublions pas aussi que l’autre partie de la jeunesse qui jouait, la tendance va s’inverser et elle aura besoin de … !!!
Pour l’Administrateur Principal
et par délégation
The Regulating Competence : DURALOGUE




















Jeunes cerveaux et Jeunes Leaders: le désenchantement socio-systémique et socio-économique en Afrique subsaharienne

C'est au mois de septembre prochain que sera présenté la Nouvelle Réforme du Systéme des Nations Unies que nous suivons depuis 1997.Objectivement, nous avons besoin durablement de l'ONU en Afrique.Voilà un an que les soldats de l'Union Africaine(UA) sont au Darfour mais la situation reste catastrophique.Il y a une demande d'augmenter les effectifs au Darfour. Les Etats Unis sont prés à mettre 50 millions de $ pour soutenir le mandat de maintien de la paix.L'UA a-t-il les moyens de ses ambitions?Il faudrait que les africains puissent mesurer l'impact de l'efficacité soulignée dans le Rapport mondial sur le Développement Humain du PNUD de 1999: "Le Rapport mondial sur le développement humain prend fait et cause pour les plus faibles,les laissés-pour compte de la mondialisation,et appelle à l'élaborer un programe beaucoup plus audacieux de réformes,au niveau planétaire et national,afin de donner un visage humain à la mondialisation...". Précédemment,il y a d'autres initiatives qu'on pourrait citer:
*Approuvé en août1993, le Centre Public d'Information (PIC) de la Banque mondiale s'était attaché à mettre à la disposition d'un public toujours plus élargi, de larges données opérationnelles qui n'étaient accessibles qu'à des utilisateurs officiels.
*En septembre1993, les Administrateurs de la Banque mondiale, ont mis en place le Panel d'Inspection Indépendant "afin de veiller à ce que la Banque respecte ses propres politiques et procédures opérationnelles à l'occasion de la conception,de la préparation ou de l'exécution de ses projets"...
*Lancé en septembre1995, le Programme Info.Dev(Information pour le Développement de la Banque mondiale) s'attachait à encourager les partenariats entre la Banque mondiale, les gouvernements, le secteu privé et la société civile.
En tant que Former Young African Leader, nous ne pouvons pas continuer à émettre d'autres idées et théories sans pour autant réfléchir sur l'existant. Nul n'ignore la situation alarmante de l'Afrique en matière de Développement Durable(DD) et de croissance économique soutenue. Lors de la création d'un Forum National sur le Développement Humain en 2003, M.Ahmed Razhaoui, Représentant Résident du PNUD à Dakar avait souligné:"...car le DD passe par la responsabilisation des gens pour leur permettre de jouer un rôle dans la construction de leur devenir et de participer aux processus et événements qui régissent leur vie".
Est-ce que ce sont les 300 et quelques jeunes réunis à Dakar lors du Sommet panafricain des jeunes leaders du 27 au 30 juin 2004, qui les jeunes leaders et entrepreneurs potentiels qui permettront à l'Afrique subsaharienne d'atteindreThe Millennium Development Goals(OMD)?
L'Etude réalisée dans le cadre d'un colloque sur "la gestion des compétences et la compétitivité dans l'espace UEMOA" réuni le mradi 01juillet2003 à Niamey, a révélé que " quelques 20.000 cadres quittent chaque année le continent africain pour des horizons plus prometteurs". Et pourtant la plupart des jeunes africains qui s'abordent dans les cotes maroco-espagnoles sont sur-diplômés.
Réellement, nous confirmons les engagements des jeunes, la motivation même d'un engagement d'utilité publque. Beaucoup de jeunes savent qu'ils sont intelligents, dynamiques mais ne voient pas encore l'impact à leur niveau de vie de tous ces projets et programmes de développement soutenables du SNU, des institutions de Bretton Woods, des BMD, des BC,des CER...
Le probléme n'est pas de voir si les jeunes sont réactionnaires ou révolutionnaires mais de voir que le systéme ne marche pas en Afrique subsaharienne depuis 25 ans.
Sur ce, je terminerais en soulignant que le Secrétaire général de l'ONU est déterminé à introduire des réformes urgentes: " Les recommendations visant à adopter l'ONU au XXIe siécle sont tout aussi importantes. Le Groupe critique le bilan de l'Organisation dans plusieurs domaines et, sans la nommer il est vrai, son Administration et j'en assume l'entiére responsabilité. Nous devons prendre ces critiques au sérieux et en tirer les leçons"(CF: Rapport du Groupe de personnalités de haut niveau sur les menaces, les défis et le changement- ONU/2004").
L'implication des jeunes promoteurs et entrepreneurs pauvres permettront duralogiquement d'atteindre les objectifs d'un développement endogéne durable et équitable.
Pour l'Administrateur Principal
et par délégation
The Regulating Competence: DURALOGUE

Thursday, May 19, 2005

POLITIQUE MONETAIRE OU POLITIQUE FINANCIERE:laquelle en Afrique subsaharienne

"En considérant le monde dans son ensemble, on occulte le fait que l'Afrique subsaharienne ne sera pas en mesure d'atteindre l'objectif de la pauvreté monétaire"(Cf:Rapport sur le Développement dans le monde 2004-"Des services pour les pauvres"-Banque mondiale).
Parallélement, c'est le mardi17/05/2005,que s'est ouvert à Paris le Grand Procés du FrancsCFA qui tourne au tour d'un vaste trafic de ladite monnaie, d'une valeur de 75 millions d'euros(environ 50 milliards de FCFA), avec huit personnes au banc des accusés et une vingtaine d'autres escroquées.La BCEAO fait parti des plaignants...
De fait, Banques centrales, compte capital, réserves de changes, marché financier et non financier...en Afrique, il est fondamental de replacer l'Etat dans son rôle de facilitateur, de médiateur, d'arbitre et de controleur entre les différents acteurs. Dans la définition des agrégats monétaires élaborés par la BCEAO(Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest),les engagements monétaires à vue de la Banque centrale sont constitués, d'une part,de la circulation fiduciaire et, d'autre part, de l'ensemble des dépôts, tant des établissements de crédit, de l'Etat, que des particuliers et entreprises auprés de la Banque centrale ainsi que des transfert en instance d'exécution(Cf:UMOA-Notes d'information et Statistiques-N°466, janvier1997-BCEAO). Notons en premier lieu que le FMI et la BM(Banque mondiale) sont des institutions spécialisées de l'ONU(Organisation des Nations Unies).Mais ces institutions de Bretton Woods(FMIetBM) fonctionnent selon leurs statuts. Le FMI travaille surtout avec les MEF(Ministéres de l'Economie et des Finances) et les Banques centrales. La BM travaille surtout avec les Etats, mais duralogiquement, elle est beaucoup multidimentionnelle dans sa collaboration(surtout avec la complexité de la Société Civile) qu'avec les fonctionnaires du FMI.
Le probléme de la clarté et de la transparence financiére se pose toujours en Afrique. Virtuellement, suicez-moi à travers ces quelques exemples:
*Le 16 jancier 2002, l'affaire SGBCameroun, où quelques clients mal intentionnés créent des problémes à la banque. Leurs stratéges, avec quelques complices, la justice est saisie. Et un juge complice condamne la banque avec des sommes énormes. Alors ces escroqueries se sont élargies au niveau de toutes les autres banques camérounaise. Plus de 6 milliards étaient bloqués dans les banques centrales. Ainsi, le Gouverneur de la BEAC(Banque Centrale des Etats de l'Afrique Centrale) alerta les autorités de la sous-région sur cet danger pendant qu'en Afrique de l'Ouest le dossier sur l'harmonisation du droit des affaires était en train d'être finalisé.
*Victime en 1996, d'un détournement de 140 millions de $, soit 98 milliards de FrancsCFA, l'AMALTED BANKES OF SOUTH AFRICA continue toujours d'être plus performant. Elle intervient en mati"re de banque d'investissement et est issue de la fusion de quatre établissements financiers à capitaux sud africains( Allied, United, Trust et Volkstas).
*Le 14 janvier2002, M.D.B. PDG de la SG à Paris a été mis en garde à vue pour blanchiement d'argent aggravé de l'encaissement de chéques entre la France et Israêl...
* "Le probléme de la clarté financiére au niveau des banques se pose toujours. Vivendi avec la transparence des comptes, les petits épargnants se plaignent de la gestion de leurs comptes...", RFI, le 05/02/2003 sur l'Affaire J.C.T Président de la Banque de france avec le Crédit Lyonnais.Acause de ce probléme de candidature de JC.T à la Banque centrale européenne a été relise en cause...
* Et actuellement, le plus Grand Procés du FCFA est en train de se dérouler dans la capitale parisienne. Sur ce, je vous oriente sur le livre de M.Boukary ADJI, Economiste Financier, ancien Vice-Gouverneur de la BCEAO intitulé "L'Afrique à la croisée des chemins:Problématique de Développement". M.B. ADJI que je n'ai pu rencontré dans la derniére phase MICRO de mes recherches opérationnelles DTS & PAUVRETE, malgrés de multiples RV qui n'ont abouti pour raison de voyages...
De ce fait, la Société Civile Africaine ne bénéficient pas encore de renforcement de compétences pour faire des observations monétaires au niveau des Banques centrales. Il est vrai que la Société civile est en train de s'activer dans le microcrédit et la microfinance(2005 année de la microcrédit). Il est aussi vrai que dans le domaine du microcrédit, la politique d'Open Market rentre dans le cadre de la régulation de la liquidité bancaire dans l'UMOA. C'est aussi la surveillance bancaire avec les taux d'adjudication, d'escompte, de pension, d'usure, de Base Bancaire et d'épargne. Mais avec le PARMEC(Programme d'Appui à la Réglementation des Mutuelles d'Epargne et de Crédit) mis en place en 1992 par la BCEAO, dans le fond, il reste beaucoup à faire.
En conclusion, POLITIQUE MONETAIRE ou POLITIQUIE FINANCIERE, le Rapport sur le Commerce et le Développement2004 de la CNUCED(Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement) est clair:
"Le continent africain à moins profité de la reeprise de l'économie mondiale que les autres régions en développement. La croissance modeste enregistrée en Afrique a été due à la hausse des prix des produits de base... alors qu'en Afrique subsaharienne, où la pauvreté et la détresse sociale de faire le plus grand nombre de victimes, la croissance réelle du PIB reste atone et le revenu par habitant continue de stagner. Compte tenu des contraintes graves de financement de la plupart des pays d'Afrique subsaharienne, le taux d'investissement reste trop faible pour procéder à la diversification nécessaire de la production au profit des produits à plus forte valeur ajoutée et plus dynamiques sur les marchés internationaux, diversification qui permettrait à la région de s'intégrer plus rapidement dans l'économie mondiale et de réduire sa vulnérabilité persistante à l'égard des chocs extérieurs. La hausse nessaire de l'investisssement public et privé ne peut provenir uniquement de l'épargne intérieure et des entrées de capitaux privés...,il est désormais de plus en plus improbable que l'Afrique subsaharienne puisse atteindre les Objectifs de Développement du Millénaire, en particulier celui de réduire de moitié la pauvreté d'ici 2015. La plupart des pauys devraient enregigistrer un taux de croissance deux fois plus élevé pendant plus d'une décennie pour y arriver." Les jeunes promoteurs et entrepreneurs africains pauvrent sont interpellés!
Par délégation et pour
l'Administrateur Principal

Tuesday, May 17, 2005

DTS & Pauvreté: quel spectre de risque pour les investissements en Afrique subsaharienne

"En considérant le monde dans son ensemble, on occulte le fait que l'afrique subsaharienne ne sera pas en mesure d'atteindre l'objectif de la pauvreté monétaire" (Cf: Rapport sur le Développement dans le monde 2004-"Des services pour les pauvres"-Banque mondiale).
Vous conviendrez (NB: le futur duralogique) parfaitement avec moi que le plus grand défi de ce nouveau millénaire demeure l'extrême précarité et l'extrême vulnérabilité.En effet, en 1998,en établissant mon Document de Partenariat Stratégique ETUDES ET RECHERCHES ORGANISATIONNELLES, sur le Schéma rotatif pour valoriser les TQM dans le domaine des finances (la monnaie), j'avais décidé de mener des recherches autour de ces deux fléaux cités ci-dessus et l'utilisation des DTS(Droits de Tirage Spéciaux) sur la surveillance des politiques de change correspondant parfaitement aussi à l'action de la BCEAO(Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest). Le projet de la BRS(Banque Régionale de Solidarité) entre dans le cadre de la lutte contre la pauvreté au sein de l'UEMOA.Citons d'autres exemples comme les Opérations de Facilité pour la Réduction de la Pauvreté et de la Croissance(FRPC) qui a pris le relais de l'ancienne FASR(Facilité d'Ajustement Structurel Renforcé), les PPTE(Pays Pauvres Trés Endettés), les DSRP(Documents de Stratégie de Réduction de la Pauvreté)...
C'est pour toutes ces raisons qu'en 2002, je me suis adressé au niveau de la BCEAO pour des recherches opérationnelles dans ce sens.En premier lieu, sur le plan Macro( Banque mondiale, FMI,PNUD), la phase de recherches de données et d'information a été sans aucune difficulté et une grande disponibilité sans trop de correspondances administratives.En second lieu, sur le plan Micro, les contacts au niveau des institutions étatiques ont été sans difficultés.Mais c'est au niveau de la BCEAO que j'ai été obligé de mettre tout en extinction suspensive.Etant dans la Zone UEMOA, me référant à l'article41 du traité instituant l'Union qui fait de la Banque centrale(BCEAO) une institution spécialisée autonome de l'UEMOA, au même titre que la BOAD...Malgré quelques démarches auprés des autorités de la BCEAO, la lourdeur administrative était de taille.A chaque recherche, il faudrait adresser une demande d'autorisation qui n'était pas trop motivante vu la complexité de nos activités: Développement Durable et Croissance Economique Soutenue.Briévement, il n'y a pas longtemps, le Gouverneur de la BCEAO affirmait que "nous voulons cesser de chanter l'intégration pour la vivre pleinement..." .
Depuis 1994, L'Union a engagé des politiques de résertves de change.Et le Gouverneur de la BCEAO, M.Charles Konan Banny, avait indiqué(APS-jeudi 29/01/2003 à Dakar) qu'au plan monétaire:"1FCFA qui est émis est engagé par 1,20FCFA en devises.Cela veut dire que si l'ensemble des engagements monétaires que nous émettons venait à être ramenés à la Banque centrale les détenteurs de devises, de mandats à être remboursés, nous pourrons le faire rapidement". Alors dans ce cas, est-ce qu'on ne peut pas permettre à nos Etats d'utiliser ses réserves de devises de la BCEAO pour financer les Projets et Programmes de PPP(Partenariats Public Privé) au lieu de leur demander de s'approvisionner sur le marché financier en modifiant l'article14 de la Banque centrale(comme c'est le cas actuellement).
Le Conseiller du Gouverneur de la BCEAO,dans le journal de la RTS du dimanche29/06/2003, avait indiquait que la BRS a pour "mission de sensibiliser les acteurs économiques, la promotion des investissements, de faire face à la pauvreté mais pas à toutes les formes de pauvreté,les jeunes diplômés qui ont des projets...". Les deux derniers points poseront beaucoup de difficultés à l'institution. Est-ce que la BCEAO dispose de compétences prétes à travailler avec la Société Civile trés active dans ce terrain? Dans la Zone UEMOA, nous n'avons pas une société civile spécialisée sur les questioins monétaires.Mais avec les problémes de la dette, la Société civile africaine est en train de s'organiser pour mieux traiter les questions de la Pauvreté monétaire.
Parallélement, c'est aujourd'hui, mardi 17/05/2005, que s'ouvre à Paris, le grands procés du FCFA qui tourne au tour d'un vaste trafic de FCFA d'une valeur d'environ 75 milliards d'euros (50 milliards de FCFA environ). 8 personnes au banc des accusés et un grand nombre d'autres escroquées.La BCEAO fait parti des plaignants...
Le déficit informationnel et d'ouverture au niveau de ces institutions en Afrique de l'Ouest UEMOA,CEDEAO)
est trés marqué en vers les acteurs de la Société civile et du Secteur privé.Je donne un exemple, la BIDC(Banque d'Investissement et de Développement de la CEDEAO) chargée de piloter les investissements du NEPAD, n'est pas trés bien connue.Et pourtant elle travaille en collaboration avec la BOAD.
L'ouverture et l'accés aux institutions régionales et sous-régionales de l'Afrique de l'Ouest est impératif. L'Etude réalisée en 2003 dans la cadre d'un colloque sur "la gestion des compétences et de la compétitivité dans l'espace UEMOA" réuni à Niamey, avait révélé que "quelques 20.000 cadres quittent chaque année le continent africain pour des horizons plus prometteurs". Ainsi dans le cadre de la modification de l'article14 de la BCEAO, le rôle de l'Etat n'est pas de faire de l'argent ou de la richesse mais d'encadrer, de faciliter, d'accompagner et de controler les acteurs,les opérateurs, les citoyens et les bénéficiaires. Je n'arrive pas encore à cerner la problématique qui a motivé la BCEAO a changé son article14 pour que les Etats s'approvisionnent maintenant sur le marché financier.
En conclusion,selon Gabriel Convendite, Enseignant à la retraite: "l'allignement du Public sur le Privé me paraît monstrueux".
Par délégation et pour
l'Adminitrateur Principal

Tuesday, May 10, 2005

MILLENARISME GENERATIONNEL ET JEUNISME:la valeur pour un développement endogéne durable

Ici, nous sommes dans la révolution Public Private Partnerships (PPP), une méthodologie totalement différente de celle de la révolution endoctrinée et anti-institutionnelle des Soixante huitards. Pédagogie et didactique, il y a une mauvaise articulation entre l'approche participative et la dynamique participative d'où l'énorme difficulté à rentabiliser les nouvelles sciences du millénaire: la DURALOGIE, la RUDOLOGIE et la BIOMINERALISATION.
" Le verbe est là pour masquer la pensée ", avait dit le philosophe. Pas dans un sens péjoratif, mais pour susciter la participation cognitif de l'autre. Pour les acteurs qui travaillent sur les problématiques de Développement Durable (DD) et ceux qui ont bénéficier des Programmes Capacités 21 du PNUD et de la Banque mondiale, ils n'ont pas de difficultés à s'adapter et à se mouvoir dans la Mondialisation ou la Globalisation. Le plus important, c'est d'avoir une APPROCHE HOLISTIQUE dans les résultats et les Objectifs que l'on veut atteindre dans le DD et lesInvestissements Soutenables.
Vous ne pouvez comprendre les propos de Leopold Sédar Senghor " Monde juif et Monde noir: deux destins en commun " sans connaître au préalable, l'histoire de l'holocauste des juifs, l'esclavage, comment est née l'indépendance d'Haïti, pourquoi la Section1 de l'Amandement13 de 1865 des Etats Unis d'Amérique stipule que "Ni esclavage ni servitude involontaire, si ce n'est en punition d'un crime dont le coupable aura été dûment convaincu, n'existeront aux Etats Unis ni dans aucun des lieux soumis à leur juridiction". Vous ne pouvez se réclamer des théories du Chercheur Cheikh Anta Diop sans pour autant connaître Anténor Firman, son devancier. Vous ne pouvez comprendre la théorie du "BIG BANG" de Stéphan Hawking sans étudier la dérive des continents, les plaques tectoniques, le phénoméne du Pangea... Avec la DURALOGIE, je me suis posé parfois la questioins, pourquoi en milieu francophone, avec les enseignants-chercheurs, il y a une classification ou une typification (NiveauI,II ou III). Et dans certains domaines de recherche, les Chercheurs solitaires et les Chercheurs indépendants sont extrêmement puissants par rapport à ceux institutionnels. En guise d'exemple dans un milieu anglophone, les Chercheurs de la NAZA, que j'ai eu à travailler dans le cadre d'AfricaGIS(Geographic Information System). Je n'utilise pas l'approche chercheur, mais un travailleur de la NAZA, dans un même projet, il peut être à la fois concepteur de tel type de produits, co-contractant,adjudicataire,biotechnicien,ingénieur,formateur,et même fournisseur... La différence, c'est qu'en milieu francophone il suffit de totaliser le maximun de diplômes, alors que chez les anglophones on insiste sur l'approche compétence, le savoir-être, le faire-faire, le vouloir-faire (le talent naturel du sujet). L'importance de la recherche doive s'orienter vers le champ social, afin de lutter contre la précarité, la vulnérabilité et de mieux participer au développement soutenable.
Tous ces experts, tous ces consultants, interne comme externe en Afrique, luttent-ils contre la pauvreté ou c'est une nouvelle forme de positionnement des nouveaux riches? Institutionnellement, de 1980 à 2000, des PAS(Programmes d'Ajustement Structurel) aux CSLP(Cadres Stratégiques de Lutte contre la Pauvreté), ses fonctionnaires étaient-ils motivés par des objectifs et des résultats durables ou par des problémes de carriére ou de retraite? Si l'état de droit et le droit au développement étaient la principale motivation de tous ses Programmes soutenables 1980-2000,est-ce qu'il y avait des dispositions de promouvoir de jeunes promoteurs ou entrepreneurs dans l'objectif d'une continuation durable? La Fondation ACBF pour le renforcement des capacités en Afrique, at-elle réellement un impact durable ou non durable chez les cibles vulnérables?
A cet égard, c'est un bon signe de voir, M.Paul Wolfovitz, Futur Président du Groupe de la Banque mondiale, rendre visite à l'improviste le 15 avril 2005, le Groupe de Personnnalités qui s'était réuni dans les bureaux du Congrés," afin d'élaborer des stratégies visant à appuiyer le développement de l'Afrique". Mais les recommandations du Rapport de ce Groupe de travail sur "...le doublement de l'aide africaine dans les cinq prochaines années au G8 et l'annulation totale de la dette des pays pauvres...", avec l'extrême précarité et l'extrême vulnérabilité qui s'évissent en Afrique subsaharienne, celles-ci necessitent une analyse prudentielle. Tony Blair, le Premier ministre britannique, en créant la Commisssion pour l'Afrique (CFA) en 2004, avait bien souligné les liens: "...l'engagement des pays africains bénéficiaires, la bonne gouvernance et la mise en place d'une sérieuse réforme économique...". Donc, vous comprendriez, l'indication de M.Wolfocitz, Futur Président de la Banque, quand il indiquait que "Grâce à une aide au développement qui a été conjuguée à une réforme économique et à de bonnes pratiques au plan de la gouvernance la Corée, et d'autres pays d'Asie ont réussi à se sortir de la pauvreté et de devenir prospéres", indiqué le Communiqué de l'Ambassade des Etats Unis.
Babacar NDIAYE

Monday, May 09, 2005

THE SUSTAINABLE MONITORING:a millennium fondamental skill for the emerging countries

" Si aucune mesure concrète n'est prise pour en accélérer le rythme, la vision formulée lors de la déclaration du millénaire ne se concrétisera pas ", avait averti le Comité de Développement Banque mondiale / Fonds Monétaire International, dans un communiqué à l'issue de sa réunion semestrielles du dimanche 17/04/2005.
Rétroactivement
, au début des années60, la plupart des pays africains ont adoptée la Planification copiée dans certains pays de l'Est, mais les conséquences sont dramatiques.Toutes ses compétences n'ont pu régler le probléme du développement en Afrique: Planificateur, Experts et Consultants des politiques de développement, Spécialistes du Budget, Stratégiste en scénario, en prévision, en prospective etc... Leurs difficultés, ils réflechissent à des objectifs lmités: Court Terme, Moyen Terme, Court et Moyen Terme, Long Terme.
Alors que dans ce nouveau millénaire, il y a des veilles technologiques qui modifient totalement les paramétres classiques. Ce qui veut dire que la maniére de pérenniser les Opérations de développement et croissance durables se posera ultérieurement.
Le MONITORING DURABLE est tout à fait millénaire. Il faut qu'on sache aussi que les évaluations d'impact en matiére de renforcement de capacités, d'éducation ou de formation ne peuvent se faire que dans des périodes de 10 ans. Actuellement, c'est le probléme qui se pose dans les approches PPP ( Partenariats Public Privé) et surtout les projets du NEPAD qui s'inscrivent dans le long terme.
Il y a des mécanismes qui doivent accompagner au préalable le monitoring durable. L'environnement des affaires entre les partenaires doit être asssaini. Les citoyens doivent être considérés comme des consommateurs, des bénéficiaires et des acteurs. Il doit y avoir l'équité, la transparence et l'égalité des chances pour les cibles vulnérables. Il faut mettre en place des mécanismes d'échange pour la disponibilité de l'information en vers le public.
Les japonais ont donné l'exemple en nommant un chirurgien de carriére dans un poste chargé des opérations internationales et les bénéfices se sont multipliés par 2,3 et même 5. Les diplômes ne suffisent pas, il faut laisser éclater les talents naturels, l'effervescence constructive et la motivation du sujet.
La solution du monitoring durable est déjà donnée par M.J.D.Wolfensohn, Président de la Banque mondiale, lors de son discours devant le Conseil des Gouverneurs à Dubaï en 2003: "...Des jeunes seront bientôt intégrer dans les projets et programmes de la Banque pour accueillir leur point de vue et leur conseil". Le SNU, le FMI, les BMD, les Institutions et les Communautés économiques régionales, sous-régionales et internationales doivent essayer d'adopter cette nouvelle approche durable.
Babacar NDIAYE

Wednesday, May 04, 2005

BIOTECHNOLOGIE & BIOSECURITE: EST-CE QUE LA VEILLE DES RECHERCHES DOIT ATTENDRE L'AFRIQUE SUBSAHARIENNE

La désertification, la sécheresse, le déficit alimentaire, le déséquilibre entre énergie et espéces, nous remarquons que les modes de production et de consommation sont loin d'être durables à ce rythme. Le réchauffement et les gaz à effet de serre, les POP, les MDP... il y a une méconnaissance des enjeux environnementaux entre l'homme et la nature.
Le terme de durable (DURALOGIE) accompagne presque tous les objectifs et orientations de développement socio-économique dans le monde. C'est vraiment absurde avec les progrés fulgurants en matiére de science et de technologie que l'on parle d'extrême pauvreté en Afrique subsaharienne. L'Afrique doit se retrouver pour voir comment utiliser judicieusement les nouvelles connaissances en biotechnologie. La transgénique doit être utiliser avec le plus grand respect de l'ordre génétique. Dans la transgéne, un dispositif sécuritaire de qualité doit être assuré pour la culture de bactéries.
S'il n'y a pas d'innovations et de recherches, il n'y aura pas de développement. En Afrique subsaharienne, il me semble qu'on étouffe l'initiative et l'innovation exclusivement chez les jeunes promoteurs, entrepreneurs et leaders. Absence de liens entre entreprises, chercheurs (solitaires, indépendants et institutionnels) et le marché financier. L'Afrique subsaharienne a de réelles dificultés à retenir ses chercheurs et d'offrir un cadre approprié pour ceux qui veulent venir investir. Beaucoup de chercheurs francophones sont maintenant attirés par les Etats Unis, le Canada, la Grande Bretagne et l'Australie. Parfois les dispositifs diplomatiques leur empéchent d'aller réguliérement en france pour renforcer leurs compétences.
"Comment faire pour que l'Afrique tire profit de la mondialisation au lieu d'être victime?" C'est autour de cette question que s'était ouverte le mercredi 23/04/2003 à Dakar, la conférence internationale sur le commerce et l'investissement en Afrique , présidée par le Président Me Abdoulaye Wade et l'OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Economiques) dans un contexte où le continent africain ne représente que 1% du taux d' IDE (Investissements Directs Etrangers). Le Président Me Abdoulaye Wade affirmait que " l'Afrique n'a pas tiré profit de l'expansion rapide du commerce international qui d'ailleurs lui est défavorable car la pauvreté s'y est accentuée". Le président Wade de reconnaître quand même que " la communauté internationale a eu à prendre des initiatives allant dans le sens de permettre aux Etats africains d'accéder aux investissements privés".
Il faut que les jeunes se détrompent, certaines rencontres comme "AfricTalents" organisées en Afrique subsaharienne par des "chasseurs de tête", ces activités ne s'inscrivent que dans le cadre du WEM ( World Education Market).
Dans les biotechnologies, les enjeux économiques et financiers sont énormes. Une harmonisation des textes au niveau africain permettrait de mieux tirer profit des avantages. Malgré la Convention sur la Diversité Biologique(CDV) et le Protocole de Cartagena, il est trés difficile pour l'Afrique de faire face à la puissance des grandes firmes multinationales. Le Sénégal a adopté une position exemplaire du " Oui, mais", en appliquant les principes de précaution lors de la présentation des orientations pour la mise en place d'un cadre national de biosécurité qui passera bientôt à l'assemblée Nationale.
Babacar NDIAYE