Wednesday, December 21, 2005

FMI et Banques centrales: déficit de mise en oeuvre de l'information financière pour les acteurs de la société civile

« Mais pour le public, le FMI est une vaste zone d’ombre. Et dans un certain sens, ce n’est pas totalement faux. Le FMI reste moins transparente que bien des banques centrales aujourd’hui. Que faire ? » disait Mr Ted TRUMAN, Expert, Maître de Conférences à l’Institute for International Economics, Ancien – sous secrétaire au Trésor américain pour les affaires internationales et Directeur de la Division des finances internationales de la Réserve fédérale.

Impliqué dans les réflexions sur le développement durable et la Croissance économique soutenue (DD/CES), Acteur de la Société civile, voilà, au moins une production intellectuelle à forte valeur ajoutée pour les banques centrales subsahariennes. Les banques centrales subsahariennes doivent travailler davantage avec la Société civile africaine pour analyser les concepts de Croissance économique soutenu, de Croissance soutenable et d’Investissements soutenables.
Là où le PNUD parle dans sa définition « des caractéristiques de la société civiles moderne », là où l’UE parle d’ « Acteurs Non Etatiques », il me semblerait que l’observation de la Banque mondiale sur la société civile mérite une attention particulière avec l’extrême précarité en Afrique subsaharienne.
La Banque mondiale a surtout commencé à coopérer avec la société civile dans les années70 sur des questions environnementales.
Sur ce, je penserais que c’est de cette longue expérience que l’ancien Président de la Banque mondiale, Mr J.D .Wolfensohn disait que : « La Société civile, avec ses différentes composantes, est probablement l’acteur de développement le plus large et le plus diversifié. Si ce n’est à travers sa contribution monétaire, c’est certainement grâce à sa contribution humaine, à son expérience et son histoire ». En analysant fonctionnellement ces dires, le problème de l’approche participative et de la dynamique participative pourrait être résolu de manière durable en Afrique.

Babacar NDIAYE
Consultant Sustainable Development and Sustained economic growth (DD/CES)
World Civil Society’s Actor
Adresse : B.P.37171, 13522 Dakar / Sénégal.
Tél : +221 5394735
eMail : worldleadership_2000@yahoo.fr
eFax : +33 8 26 41 53 36

7éme Conférence des Parties à la Convention de Vienne / 17éme Réunion des Parties au Protocole de Montréal




La Conférence des Parties sur la protection de la Couche d’Ozone s’est tenue à Dakar du 12 au 16 décembre 2005. Sur le problème que pose l’appauvrissement de la couche d’ozone, le document du PNUE/DTIE indique que « la solution repose sur des actions individuelles prises conjointement à différents niveaux de la société : Au niveau mondial, Au niveau régional, Au niveau local. » Dans les MDG Carbon Facility, notons ces adresses du PNUD : « UNDP will be able to provide an integrated package of specialist skills and services to governments, civil society, and private companies participating in the facility. » La Banque mondiale aussi travaille avec la société civile.
Mais les différentes composantes de la Société civile africaine doivent être impliquées davantage sur les enjeux des engagements de Kyoto : les Phases de 2006-2008 et de 2008-2012. La société civile africaine est composée d’Individualités (Chercheurs indépendants, Chercheurs solitaires, Journalistes indépendants, Citoyens libres etc.) et de sous-ensembles (ONG, Associations, clubs, Familles, Communicateurs traditionnels, Réseaux etc.) qui doit être mieux impliquée dans les problématiques touchant les changements climatiques, les SAO, les principes du Développement Durable(DD).
Au cours de la 7éme Conférence des Parties à la Convention de Vienne et de la 17éme Réunion des Parties au Protocole de Montréal, nous avons participé en tant que Membre de la société civile africaine, en tant que citoyen du monde mais aussi de la société civile mondiale. Nous avons participé par nos propres frais et moyens à côté du PNUD, de la Banque mondiale, des BNO, du Departement of the Environment and Heritage / Australian Government, le NRDC (Natural Resources Defense Council)/USA, les représentants des pays d’Amériques latines, du Pacifique, du Caraïbe, de l’Asie etc. Les MDP, les PPO nécessitent beaucoup de moyens en Ressources Humaines, financiers et matériels que les africains ne disposent pas actuellement les capacités de s’y mouvoir. Un consensus mondial pourrait être trouvé parce que le problème ne se règle pas uniquement par l’explication technique et de la structure de l’atome O3 ou la molécule CH3. Les techniciens ont toujours fait un travail remarquable mais la décision est politique. Et c’est aux acteurs de la Société civile mondiale d’expliquer et de vulgariser ses travaux auprès des Gouvernements, des organismes intergouvernementaux, des bailleurs et des citoyens du monde. A cause de leur position de médiateur et de facilitateur, à moins qu’ils soient permis d’écouter et de disposer de l’information. Sinon les blocages qu’a connus la Conférence de Montréal vont continuer de plus belle.
Il est pourtant bien écrit dans les documents l’implication de la Société civile. Mais, il y a une distorsion sur le terrain entre l’approche participative et la dynamique participative. La société civile africaine est extrêmement composite, il ne suffit d’être à l’intérieur pour comprendre « l’isométrie tétraédrique ».
Durant la 7éme Conférence et la 17éme Réunion, nous allons souvent à la salle informatique pour suivre les négociations de la 6émeConférence Ministérielle de l’OMC à Hong –Kong /Chine (13 au 18 décembre 2005). Les négociations n’étaient pas faciles alors que nous, les éléments de la société civile, nous ne trouvons aucune difficulté à débattre dans les couloirs avec les différentes représentations.
La plupart des blocages à Hong-kong concernaient les questions environnementaux et le Développement durable (Agriculture, produits agricoles, l’étiquetage des produits chimiques et pesticides etc.).
Faire des documents techniquement fermés et extraordinairement scientifiques, qu’on n’est pas en mesure d’expliquer et de convaincre les décideurs politiques (UE, ONU, UA, NEPAD, BM, FMI, BMD etc.) n’est pas motivant.
Laissez Monsieur X de la société civile convaincre l’orpailleur pauvre qui utilise d’énormes quantités de mercure. Le document technique sur les POP pourrait bien le faire mais ce n’est pas les mêmes compétences.
Les négociations de Hong-kong ont connu des distorsions entre les pays émergents, l’UE et les pays riches. Heureusement que les négociations se sont terminées dimanche 18/12/2005 par un « Texte d’accord » entre les 149 membres. Un « Texte d’accord » qui prévoit la suppression des subventions en 2013. Pour éviter ces types de blocages dans l’avenir, il faudrait impliquer davantage la Société civile, individualités et d’autres composantes, pour qu’elle puisse interférer entre les décideurs, le secteur privé et les populations.
Le e-trade bridge du CCI/OMC ne pourrait aboutir en Afrique si les différents programmes de renforcement de capacité en matière de commerce international ne sont pas désagrégés.

Babacar NDIAYE
Consultant en DD/CES (Développement Durable et Croissance économique soutenue)
Acteur de la Société civile mondiale
Adresse : B.P.37171, 13522 Dakar / Sénégal.
Tél : +221 5394735
eMail : worldleadership_2000@yahoo.fr
eFax : +33 8 26 41 53 36





BIOGRAPHICAL NOTE - Phase II

Involved in questions of Sustainable Development and Sustained economic growth (DD/CES), Babacar NDIAYE is always committed his natural talent and constructive effervescence at the service of human poverty.

He’s always using for full of exceptional competences that allows him to promote in the Sphere f Public- Private Partnerships (PPP).

Leader-Actor of Generational Milleniumism, he’s participated in the works:

* Regional Consultation for Africa on the Protection of children from sexual exploitation in tourism – Dakar, Senegal – 30 September – 01 October 2003- UNWTO / European Union

* MILLENNIM PROJECT – commissioned by the UN Secretary General and supported by the UN Development Group. From 10 to 11 February 2004 in Dakar / Senegal

* Observer -3­6th Annual General Assembly AFRAA (African airlines Association) – Dakar, Senegal, 23 November – 01 December 2004

* Global WASH (Water Sanitation and hygiene) Forum – 29th November-03 December 2004 Dakar / Senegal – WSSCC (Water supply and sanitation Collaborative Council)

* 16th General Assembly of the World Tourism Organization (UNWTO) – Dakar, Senegal, 25 November – 02 December 2005

* CONFERENCE OF THE PARTIES ON PROTECTION OF THE OZONE LAYER – 7th Conference of the parties to the Vienna Convention – 17th Meeting of the Parties to the Montreal Protocol. Dakar, Senegal from 12 to 16 December 2005- United Nations Environment Programme (UNEP)

* Workshops on New Partnership for Africa’s Development (NEPAD) and African Mechanism of Pairs’ Evaluation (MAEP).

Adresse : B.P.37171, 13522 Dakar / Sénégal.
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